Un père enchanté sous chantage (3)
Datte: 11/07/2017,
Catégories:
Divers,
... veut pas rompre sa promesse faite à ce patron de bistrot. Elle cherche, tâtonne autour d’elle, finit par trouver le slip de son amant qu’elle enfile dans sa bouche et s’abandonne à lui pour son plus grand bonheur. Dès l’aube, Chris s’en va travailler. De son côté, Isabelle répare les dégâts de cette nuit très agitée. Elle range, nettoie termine ce qui fut commencé la veille. Enfin, elle file en ville achète cordes, cravache, sparadrap, cagoule, tout ce qu’il faut et qui est écrit sur cette liste. Elle ajoute deux paires de menotte, ce n’est pas sur la liste. Elle ajoute encore ce martinet qu’elle caresse, s’imaginant déjà rougir sa croupe ou ses seins. Elle pense à ce lit, celui de sa grand-mère, un lit à l’ancienne, avec ses quatre coins pouvant servir pour l’attacher, l’écarteler. Des toilettes, elle s’y engouffre pour se branler en caressant ce martinet d’une main qui repose là, dans son panier. À la caisse, la vendeuse se montre un brin coquine quand elle tape les prix de ces objets de douleur sur sa caisse enregistreuse. dkydbbxc Dans son auto, Isabelle rentre, pose tout sur le lit, contrôle encore et encore. Il faudra faire une copie de cette liste, mais cette fois écrite de la main de son amant et complice. Là, elle n’y tient plus quand elle regarde se gode exprès choisit à cause qu’il ressemble à celui de Chris. Enfoncé en elle, elle jouit rapidement, la caresse des lanières sur ses seins active ce plaisir qu’elle juge merveilleusement malsain. Ce soir, ils sont ...
... invités à souper chez papa. Bien entendu, quand elle repose le combiné du téléphone, elle sait déjà de quoi ils vont parler. De son sac laissé là, elle sort une de ses petites robes préférée, la défroisse d’un coup de fer à repasser. Elle se baigne, s’épile soigneusement de partout, ne laissant que cette étroite bande de poils sur son pubis. Elle ne met aucune culotte, encore moins de soutien-gorge. Elle sort ses chaussures bleues, celles au talon aiguille de presque 10 centimètres. Dans le salon, elle déambule, se mire, corrige une mèche de ses cheveux qu’elle veut libre comme l’air. Elle s’impatiente, pourtant, c’est loin d’être l’heure du retour de son amant. Alors, elle retire sa robe, ses chaussures, retourne dans la chambre, caresse cette cravache, ose s’en donner un petit coup sur sa cuisse, elle retient brièvement son souffle. Sa main sur son sexe, elle mouille. À genou, se frottant le corps de la cravache, elle se branle comme une vilaine fifille. Oui, plus elle sent ce cuir glisser sur sa peau, plus elle désire se sentir attachée et punie. Son orgasme est à la hauteur de ses fantasmes, démoniaque. Derrière son zinc, Pierre-Jules sourit, ah ces jeunes, pense ce patron de troquet. L’heure avance, Isabelle semble toujours plus impatiente. Chris termine sa journée en bavardant avec Paul. Paul qui veut tout savoir sur son pote et Isabelle, un pote qui ne lui apprend rien, si ce n’est qu’ils sont ensemble et que c’est l’amour fou entre eux. Dans sa voiture, musique à fond, il ...