1. La rouquine et l'avocat


    Datte: 27/02/2018, Catégories: ffh, fbi, frousses, rousseurs, forêt, voiture, Oral ecriv_f,

    ... jamais leurs règles… Il n’empêche que moi je porte un jean serré. Pas évident pour les premières approches. La preuve que je n’avais rien prémédité avec mon bel avocat ; c’était un rendez-vous strictement professionnel, je ne comptais pas le violer sur le comptoir du bar… Quoique… pendant que je l’attendais, l’image de sa queue trempée dans la glace au pamplemousse m’a traversé l’esprit je l’avoue ; ç’aurait fait un cornet sympa, inusable, réutilisable à l’infini ou presque… Mais je m’égare encore. Elle s’est tournée vers moi et a glissé sa main droite sous mon tee-shirt ; elle me pelote les seins avec douceur. J’ai les tétons qui durcissent en un instant et je sens que j’ai tous les sens aux aguets à partir de cette minute. Je suis en mode « sexe », et j’ai une batterie d’une sacrée autonomie en perspective… J’ai dû commencer à gémir ou en tous cas à respirer plus fort car mon chauffeur a bougé légèrement son rétroviseur intérieur pour mieux observer. Je croise ses yeux bleus qui semblent me dire : « lâche-toi, je suis là ; n’aies pas peur ! » A mon tour, je décide d’explorer la poitrine de ma voisine ; je déboutonne un à un les attaches de son chemisier vert ; le tissu est tendu et quand j’arrive à la hauteur des seins, ils ont l’air de jaillir de leur écrin. Elle porte un soutien-gorge très élaboré et sûrement de marque ; il est pigeonnant et met en valeur la rondeur de ses seins et la blancheur de sa peau parsemée de tâches de son ; je dégrafe ; il se ferme devant ; ...
    ... c’est décidément très étudié et très pratique pour moi qui ai deux mains gauches… Elle a une poitrine opulente que je prends à pleines mains. Les tétons deviennent tout durs ; elle se pâme en fermant les yeux au contact de mes ongles. Je les masse tandis qu’elle laisse échapper de profonds soupirs. Je m’enhardis et glisse sur le sol. Immédiatement, elle écarte les jambes. De son mini slip s’échappent des poils pubiens assortis à ses cheveux cuivrés ; je passe d’abord mes doigts sur le tissu ; elle frémit de tout son être ; mes caresses sont douces et régulières et je sens le coton qui se mouille. Alors, je passe un doigt en dessous et rencontre ses grandes lèvres qui sont suintantes ; est-ce là son fameux fluide ? Je porte mes doigts à mon visage pour renifler l’odeur d’une femme. C’est étrange ; c’est âpre, doux et fort à la fois. Je frotte sa culotte contre son sexe. Elle bouge en rythme en se tenant aux appuis-tête arrières, elle a écarté encore plus largement les cuisses et posé son pied sur la banquette. Je continue à frotter la culotte jusqu’à n’avoir plus entre les mains qu’une sorte d’éponge ruisselante ; je la lui retire avec précaution et je glisse l’objet sur les genoux du conducteur. Il la saisit et la porte à son visage ; veut-il lui aussi vérifier la légende selon laquelle les rousses sont plus odorantes ? Mais sans que je la guide, elle s’allonge sur la banquette arrière, les jambes repliées, talons contre fesses ; je suis accroupie sur le sol : je la fais pivoter ...
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