Police xstory (3) - Catfight club (2ème partie) (1)
Datte: 11/07/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... l’emmancher sur son pieu, il avait juste ralenti le rythme. — Alors, tu demandes grâce?, lui demanda-t-il, plein d’orgueil. — Pas déjà!, répliqua Charlotte, provocante. — Tu en redemandes? Tu ne vas pas être déçue. Il souleva Charlotte, qui semblait un fétu de paille dans ses bras puissants. Il la mit à quatre pattes sur le tapis, et écarta ses jambes entre lesquelles il s’agenouilla, pour la prendre en levrette. Elle écarta elle-même ses petites lèvres, titillant au passage son clito, et tourna la tête vers Boris, avec un air de défi. Il avait rarement rencontré une fille avec un tel tempérament! Il guida son gland vers la fente offerte, et l’y plongea d’un coup de reins. Cette fois, Charlotte était suffisamment dilatée pour que la pénétration se fasse plus aisément. En trois poussées, il fut au fond de son intimité, et il commença à aller et venir en elle. Dans cette position, Boris imprimait le rythme qu’il voulait à ce fabuleux coït, et c’était un rythme d’enfer. Lorsqu’elle se faisait prendre en levrette, Charlotte aimait s’emmancher elle-même sur la queue de son partenaire, quand il ralentissait le mouvement, mais là, il ne lui en laissait pas l’occasion. Boris pilonnait sa chatte avec une telle puissance, qu’elle était presque soulevée à chaque fois qu’il la pénétrait, et elle criait de plaisir, sans discontinuer. A côté du couple, sur le canapé, Lena et Karine se gouinaient, avec un gode double. Si la jeune fille les regardaient avec une expression effarée, sa ...
... maîtresse, au contraire, semblait très excitée de voir son mari défoncer Karine. — Vas-y, chéri, baise-la à mort, fais-la gueuler, l’encourageait-elle. Elle aime ça. A vrai dire, il n’avait pas besoin d’encouragement! Charlotte était obligée de se cramponner à tout ce qu’elle avait à portée de main, pour ne pas traverser la pièce sur les genoux, ou même ne pas tomber. Cette fois, elle hurlait de toutes ses forces, incapable de résister à la violence de son plaisir. — Oui, ouiiii!…. Oh, putain, comme c’est bon… je… je vais jouir!...Encore, oui, comme ça...OUIIIII..! Elle fut secouée par une rafale d’orgasmes, qui s’enchaînaient. Elle avait l’impression que tout son corps n’était plus que ce petit minou, perforé par l’énorme dard, rempli jusqu’à son tréfonds. La cyprine qui en jaillissait coulait sur ses cuisses, et maculait le tapis. Mais Boris se contrôlait parfaitement et semblait inépuisable. — Tu ne me supplies pas encore d’arrêter?, lui demanda-t-il? Quand elle cessa de crier. Tu en veux encore? — Qu’est ce que vous croyez?, répondit Charlotte en contractant ses muscles par bravade, autour de la tige du russe. Je vais vous épuiser. Piqué au vif, Boris se retira, reprit Charlotte dans ses bras, et l’assit sur une grande table. Ses fesses étaient calées sur le bord du plateau, et il souleva ses cuisses, en les écartant largement. Elle vit le gland, qu’elle avait maintenant apprivoisé, piquer vers sa fente, comme un animal sur sa proie. Elle renversa sa tête en arrière, posa ses ...