Police xstory (3) - Catfight club (2ème partie) (1)
Datte: 11/07/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... jambes levées sur les épaules de Boris, et s’offrit à ce nouvel assaut. Charlotte était surprise d’éprouver toujours autant de plaisir quand il la pénétra, après avoir baisé sans interruption depuis tant de temps, mais c’était l’endurance du russe qui était la plus époustouflante. Jamais un amant n’avait réussi à durer aussi longtemps en elle. tqthhmk Les deux autres femmes, tout essoufflées, se contentaient de les regarder. Lena caressait les seins gonflés de Karine, et celle-ci n’en croyait toujours pas ses yeux. Comment une fille pouvait se faire défoncer par une telle bite? Et manifestement, aimer ça? Boris se remit à tringler, Charlotte avec la même ardeur, et elle devait se cramponner aux rebords de la table pour ne pas chuter. Son sexe devenait douloureux, irrité, mais étrangement, cette douleur se transformait en plaisir, et elle se mit à gémir de nouveau, très fort. Non, elle ne voulait plus s’abandonner… Mais c’était si bon… Oh, après tout, elle avait encore envie de jouir… Et cet orgasme qui montait, montait… Elle avait perdu le décompte du nombre de fois où elle avait joui… Elle hurlait. — Oooooh!!!… Ooooooh, ouiiii, OUIIIII… Vas-y, je te veux, je veux que tu me remplisses de foutre!… Je viens, ça y est !…. Je jouiiiiis… Oh, c’est trop bon! — Tu veux que je continue?, lui demanda Boris, quand ses cris faiblirent, tout en continuant de faire coulisser son membre bien raide dans son fourreau inondé de cyprine. — Je… je n’en peux plus, finit par avouer Charlotte, ...
... au bout d’une longue minute. Boris se retira enfin de sa fente, et Charlotte se releva lentement, le souffle court, le visage écarlate, la sueur ruisselant sur tout son corps nu. Malgré sa condition physique, jamais elle ne s’était sentie aussi épuisée après l’amour. Boris, lui, semblait à peine marqué, et affichait une érection toujours aussi impressionnante. — Je crois qu’il faut que tu y goûtes aussi, déclara-t-il à Karine. — Non, je ne pourrai jamais, s’exclama la jeune et jolie blonde. Je ne suis pas comme Charlotte, je n’y résisterais pas ! — Mais si, tu peux, intervint Charlotte qui récupérait doucement. Et tu vas le faire. Et tu verras que ça te plaira. — Charlotte a raison, renchérit Lena, avec son accent russe. Regarde- moi: est-ce que j’ai l’air d’une victime? — Non, non. Vous êtes folles, ne m’obligez pas… supplia Karine, paniquée, qui voyait les deux femmes l’entourer, et Boris s’approcher. Livide, Karine sentit Léna et Charlotte empoigner ses épaules et ses bras, la faire reculer jusqu’à une table basse, sur laquelle elles l’allongèrent. Elle était comme paralysée, incapable de se défendre. Charlotte la tenait par les poignets, pour l’empêcher de se débattre, et Lena par les chevilles, pour l’obliger à lever haut ses jambes et à les écarter. Karine poussa un hurlement de terreur, lorsqu’elle vit Boris se placer entre ses cuisses, et saisir à son tour ses chevilles. Léna se précipita vers un meuble, ouvrit un des tiroirs, et en sortit un bâillon en cuir. Elle le ...