1. LE MARIN. La Parisienne en vacances. (9)


    Datte: 28/02/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... je le reconnais, comment je ferais avec une paye de quartier-maître pour élever cet enfant et sa mère ? Ils sont aussi bien là où ils sont. Je fais plusieurs kilomètres en direction d’Auray et passant près d’un chemin avec un bouquet de buisson, je fais tourner la voiture et je l’arrête dès que la route nous est cachée. • Descends. L’ordre que je donne à notre amie est assez sec pour qu’elle l’exécute sans en rajouter. Je contourne la voiture et la couchant sur le capot tout chaud, je soulève sa jupe et en écartant sa petite culotte, je lui introduis ma verge dans le vagin et je la laboure avec de grands coups de pine. • Putain, espèce de saligaud que c’est bon, ais plus souvent de grandes frayeurs si c’est pour me prendre comme une bête fait des enfants à toutes les filles du coin derrière leur église. C’est le moment que je sens partir un très bel orgasme traversant son corps et qu’ayant attrapé ses seins à travers son chemisier, je redouble la puissance de mes allées retour lui arrachant un immense cri de plaisir. C’est dégoulinant de sueur que je referme mon pantalon après avoir une nouvelle fois rempli son intimité. Je suis de retour derrière le volant voyant devant moi ma chérie toujours affalée sur son capot et semblant avoir du mal à revenir parmi nous. Elle finit par retoucher terre et à nous rejoindre en se tortillant pour remonter son carré de dentelle et de rabaisser sa jupe. Peu de temps après par chance, ils sont assoupis tous les deux quand sur notre droite la ...
    ... pancarte indique Ploemel. Je suis à deux doigts de tourner, car j’ai beau être fière devant mes amis apprendre que du dépucelage d’une petite boulotte, je me suis reproduit m’interpelle. Voulant rattraper le retard que mon coup de phallus a engendré, je zap sur notre droite la basilique Sainte-Anne-d’Auray que nous longeons sans nous arrêter, car depuis que nous sommes reparties la tension reste palpable entre nous. C’est à Carnac que Didier réussit à détendre l’atmosphère en nous faisant jouer à cache-cache au milieu des pierres pleines de mystère. Dans ces années de fin 60, les alignements sont peu fréquentés et c’est tout naturellement qu’à ce petit jeu d’où est tu, tient, tu es là non, c’est moi qui repasse par là immanquablement Véronique est obligé de se faire attraper et que nous pouvons nous vanter de la prendre en double pénétration avec mon compagnon de jeu sous un gros dolmen semblant protéger notre copulation. Baiser derrière l’église de Languidic était déjà un exploit l’an passé, baiser cette femme belle et bandante qu’est Véronique au milieu de ces pierres mégalithiques reste un moment d’exception. C’est le bruit de voix semblant venir dans notre direction qui nous fait nous enfoncer plus profondément sous le dolmen. C’est un couple d’amoureux qui nous apparaît sans pour autant nous voir. La jeune femme est pendue au bras de son homme. Lui est une baraque avec qui j’éviterais de me quereller, car je suis sûr de ramasser une rouste. Nous avons confirmation qu’ils ...