Une commissaire délurée
Datte: 28/02/2018,
Catégories:
fff,
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Lesbienne
... Chez nous, coupa Olga.— Depuis hier soir.— Oui.— Et pourquoi l’avez-vous tué ?— Il voulait me violer, murmura Mila.— Mais il ne l’a pas fait.— Non, je l’ai repoussé. En nous battant, il est tombé sur le coin d’une table basse Stonehenge et il s’est évanoui. Olga intervint : — Je suis arrivée peu après et j’ai trouvé Mila prostrée. Nous avons tout laissé en état, nous avons fermé notre porte et nous avons passé la nuit à l’hôtel d’où je vous ai appelée. Chérie, montre-nous les marques— Arrêtez, dit Brigitte, nous demanderons aux agents de la PST de le faire. Nous allons nous rendre immédiatement à votre domicile afin de constater la mort de cet homme. Vous le connaissiez ?— Non, il venait livrer des cadeaux.— Un livreur qui profite de la situation.— Oui !— Nous y allons ! Elle se leva suivie des deux femmes. Elles sortirent devant le commissaire. La brune était plantureuse, sculpturale. Elle ondulait sur des escarpins noirs et dorés, précédée de seins en obus. Mila la suivait dans sa robe de collégienne et ses tennis. Elle était fine et assez grande. Arrivé avenue du Maine, l’appartement était spacieux, superbement meublé. La porte était entrouverte. — On avait fermé avant de partir ? Mila ? La jeune fille confirma. Elles entrèrent. Après un couloir plaqué de boiseries de chêne, elles débouchèrent dans un salon somptueux. Plusieurs canapés en cuir fauve, des tapis anciens et de belles lampes. Les murs étaient tendus d’un tissu rose à motifs et quelques toiles d’artistes ...
... éclairaient la pièce. Mila dit : — Il était là, il était là. Regardez les taches ! Elle montrait un des tapis et le sang figé. Mais personne sur le sol. En effet il n’y avait rien, si un homme avait été tué, il était parti. Brigitte dit : — Vous êtes sûre qu’il était mort ?— Il semblait sans vie, dit Olga.— Oui, mais il était assez frétillant pour filer. Si vous le voulez, je vais faire une petite enquête, cela va être assez facile, si c’était un livreur, que vous avez la commande et le fournisseur, je saurai rapidement qui était l’homme et ce qu’il est devenu.— Oui, oui ! dirent en chœur les deux femmes.— Après tout ce stress, je vais prendre un café, dit Olga. Vous en voulez, Madame ? Mila, tu prends une tisane ?— Non, un café. La brune tomba sa veste noire et se retrouva en chemise blanche quasiment transparente laissant entrevoir une poitrine nue, lourde avec des aréoles très brunes qui pointaient sous le chemisier. Elle avait une attitude très sexy. Elle attira Mila contre elle, la jeune fille se laissa aller et sa femme l’embrassa à pleine bouche, faisant durer le baiser profond. Brigitte voyait bien que les deux femmes aimaient s’exhiber et que Mila n’était pas la dernière à se déhancher, à plonger sa langue dans la bouche de sa compagne en lui tenant le visage à pleines mains. C’était un mélange de soulagement et d’excitation sexuelle. Olga ne se dégageait pas. Mila relâcha sa compagne pour saisir les gros seins et les malaxer, l’autre geignait. Brigitte ne bougeait pas, ...