Une commissaire délurée
Datte: 28/02/2018,
Catégories:
fff,
fplusag,
jeunes,
rousseurs,
uniforme,
intermast,
Lesbienne
... attentive. Elles s’écartèrent enfin, les joues roses et haletantes. Olga s’ébroua en tortillant ses grosses fesses. La commissaire s’étonnait de se sentir excitée, les reins tendus, mouillée même, mais la bouche sèche. Olga partit faire le café et Mila vint s’asseoir à côté de Brigitte. Elle dit : — Je suis si contente.— Qu’il ne soit pas mort ?— Oui, je ne l’ai pas tué.— Il faudra que je fasse un rapport.— Ah, vous êtes sûre ? Elle souriait en s’approchant de la commissaire. — Vous avez été très sympa. Sa voix était douce et parfois rauque. L’excitation de Brigitte avait subsisté. Quand Mila lui prit le visage et le tourna vers elle, elle se laissa faire ; Mila l’embrassa doucement. Elle lui picora les lèvres de petits baisers ; Brigitte ne faisait rien, mais acceptait le petit assaut. Mila lui attrapa la nuque et la plaqua contre sa bouche. Brigitte tenait ses lèvres serrées, la jeune fille tenta de glisser sa langue entre ses lèvres et la commissaire ouvrit la bouche, l’assaillante plongea sa langue humide et chercha celle de sa conquête qui… y répondit. Un combat amoureux s’engagea. Mila tenait fermement Brigitte, elle était frêle, mais solide et nerveuse. Sa main gauche se posa un sein de sa compagne dont la pointe était érigée, elle le soupesa, le malaxa, remonta le sein vers le haut, pinça le téton tendu. Elles continuèrent à s’embrasser. Brigitte participait, encore lucide, se disant qu’elle était folle. Folle, mais elle en avait envie, si envie qu’elle sentait sa ...
... vulve trempée. Elle avait même envie de presser son clitoris qui frottait sur son string de dentelle. Elle s’en empêcha, tentant de garder son sang-froid. Mila avait lâché son sein sans lâcher sa bouche et descendait lentement vers le pubis caché sous le jean. Elle empauma la fermeture éclair et branla l’ensemble de l’entrejambe de la policière qui se mit à geindre en soulevant son bassin sollicitant la caresse. Elle écartait les cuisses déjà offerte. Olga rentra avec son plateau, elle gloussa, même pas étonnée : — Eh bien, mes chéries ! Brigitte s’ébroua, voulut reprendre une attitude plus conforme à son statut, mais Mila la saisit par les épaules et se colla à elle de tout son long ; elle l’embrassa férocement. Olga posa son plateau et vint s’asseoir à la droite de Brigitte. Les deux amantes encadraient la commissaire. Olga n’était pas en reste. Elle caressa le visage de leur nouvelle compagne en la regardant dans les yeux. Elle glissa deux doigts dans l’échancrure du chemisier et, comme hypnotisée, désormais Brigitte se laissa faire. Olga détacha tous les boutons et sortit le chemisier qui était enfoncé dans le pantalon. Brigitte était nue dessous. Olga posa ses lèvres sur son oreille et murmura : — Petite coquine Et elle le lui ôta. Les seins étaient très gros, en poire avec des petits tétons aux aréoles minuscules. On voyait assez bien la marque du maillot, deux petits triangles à hauteur des tétons qui ne devaient pas cacher grand-chose sur la plage. Olga saisit les globes ...