Florence et moi (2)
Datte: 01/03/2018,
Catégories:
Hétéro
Deux semaines s’écoulèrent après notre aventure, sans qu’aucun de nous n’en fasse mention, nous agissions comme si absolument rien ne s’était passé. Sans les sms qui fixaient le rendez-vous, j’aurais cru que les images de son visage couvert de sperme n’étaient que le fruit d’un de ces rêves si réalistes qu’on ne les distingue plus vraiment de la réalité. Puis, un mardi soir, Flo me proposa une après-midi jeux vidéos chez elle le lendemain, en compagnie de quelques potes : au programme jeux de baston et de course, bière à volonté et pizza pour ceux qui resteraient le soir. Début des hostilités à 13 heures, fin quand les gens seraient trop fatigués pour poursuivre ou seraient obligés de rentrer pour une raison ou une autre. Le lendemain à l’heure dite, je sonnais à sa porte, deux manettes et le tout récent Tekken 6 dans le sac. A l’époque, ses parents venaient de se séparer et elle disposait souvent de l’appartement familial pour elle toute seule durant plusieurs jours, voire semaines, d’affilée. On en profitait pour enchaîner les soirées alcoolisées, les parties de jeux de rôles et les tournois de jeux vidéos avec une bande de quelques amis. Comme souvent, elle était à la bourre dans le rangement ou sa propre préparation et se contenta de déverrouiller la porte blindée et de l’entrouvrir en passant, me laissant le soin d’entrer. Ce que je fis. Je fus aussitôt happé par une main qui me tira vers la gauche et une bouche se plaqua contre la mienne. Je tentai de me dégager, ...
... mais Flo avait déjà passé les bras autour de mon cou et me retint alors que sa langue forçait l’entrée de mes lèvres. Après une ou deux secondes de désemparement le plus total, je fermai les yeux et lui rendit son fougueux baiser. Je sentais son énorme poitrine plaquée contre mon torse et aussitôt une violente érection monta. En un instant, j’oubliai ma copine, mes sentiments, mes remords : je voulais coucher avec Florence, et j’allais le faire. Je passai les bras autour de sa taille pour la serrer davantage contre moi et eu la surprise de ne découvrir qu’une peau nue et terriblement douce. Pris d’un doute, je tentai à nouveau de me dégager de son étreinte, mais elle me maintenait fermement tout en mélangeant sa salive à la mienne. Mais il fallait que je sois certain, aussi remontai-je ma main, feignant de caresser son dos. Rien. Impossible de trouver la moindre pièce de tissu, même une fois arrivé à ses omoplates. Mon autre main descendit vers ses fesses, à la recherche d’un string, d’une culotte, de quoi que ce soit, en vain. Flo comprit que j’avais compris et se dégagea avec un petit rire. A l’exception d’une paire de talons hauts (destinés à se mettre à ma hauteur), elle était en tenue d’Eve et cela ne semblait pas la gêner le moins du monde. Elle me prit par la main et m’entraîna directement vers sa chambre, au bout du petit couloir qui servait d’entrée. Je me laissai faire, dans un état second. Tout comme deux semaines plus tôt, j’avais du mal à comprendre et intégrer ce ...