1. Florence et moi (2)


    Datte: 01/03/2018, Catégories: Hétéro

    ... qu’il se passait et subissait les événements plus que je n’en étais acteur. Arrivés à destination, Flo se jeta sur le lit, y attrapa une feuille et me la tendit. « Cadeau, fit-elle avec un petit rire. » Plus occupé à regarder cette énorme poitrine qu’elle affichait sans complexe et sur laquelle coulaient ses longs cheveux teints en auburn, je mis quelques secondes à comprendre ce que je lisais : Séronégativité VIH Séronégativité Hépatite C Je levai vers elle un regard interrogateur. « Pas besoin de capote, vu que je prends la pilule et que t’as déjà fait les tests avec ta meuf, expliqua-t-elle. » Le rappel fut brutal. « Je sais pas, Flo, dis-je sans lever les yeux des tests. C’est quand même pas pareil qu’une pipe rapide dans un petit local... — Va dire ça à ta copine, je suis pas sûre qu’elle verra la différence. » L’argument fit mouche : puisque j’étais de toute façon déjà coupable, je pouvais bien faire ce que je voulais... L’érection revint aussitôt et je rejoignis Florence sur le lit pour échanger un long baiser durant lequel je laissais mes mains parcourir son corps et s’attarder plus particulièrement sur ses fesses si rondes et ses seins si gros. De son côté, elle me retira rapidement mon t-shirt, avant de s’attaquer au reste de mes habits. Quelques instants après m’être installé, j’étais aussi nu qu’elle, le sexe dressé qu’elle caressait délicatement, une main sur son cul, une sur sa poitrine, la langue dans sa bouche. Cela dura une minute, peut-être moins, puis Flo ...
    ... se dégagea de cette étreinte et se mit à quatre pattes devant moi, fit passer sa langue sur mon membre puis l’engloutit. Il en ressortit luisant de salive, prêt à opérer. « Allez, fit-elle, baise-moi avant que les autres arrivent, j’ai pas envie qu’ils nous trouvent en pleine levrette. » Je ne me fis pas prier pour passer derrière elle après un dernier court baiser. Je frottai mon gland contre ses lèvres trempées pour les écarter et me lubrifier avant de m’introduire en elle. Elle était serrée et je butai après quelques centimètres, m’obligeant à de lent vas et vient le temps que son vagin s’habitue à ma présence. Après quelques essais, je pus la pénétrer entièrement et mes hanches vinrent buter sur ses fesses rebondies. Commença alors une danse durant laquelle elle accompagnait chacun de mes coups de reins pour s’assurer que je la pénètre toujours à fond. Petit à petit, le rythme accéléra jusqu’à atteindre une cadence infernale où nos gémissements se mêlaient au claquement de mes hanches contre son cul. Après quelques minutes à cette vitesse intenable, je ralentis le mouvement, qu’elle continua d’accompagner en profondeur, histoire que je reste bien au fond d’elle. Je profitais du ralentissement pour me pencher contre son dos, faire glisser une main sous son ventre, entre ses cuisses, et caresser doucement son clitoris. La position était acrobatique, difficilement tenable tant nous ne pouvions plus bouger, mais terriblement agréable, surtout quand elle tourna la tête pour ...