1. Mister Hyde - 3 et 4


    Datte: 01/03/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... pouvait résister. Il était trop fort, trop brutal. Hurler devint sa seule défense… Frédéric tira un peu plus sur la toison. L’oreille de Frédérique était maintenant à portée de sa bouche. Il lui parla, d’un ton rageur. Elle ne saisit pas les paroles mais comprit la colère qui habitait son homme. Elle l’avait obligé à la punir et il lui en voulait ; ce qui arrivait, à cet instant, c’était de sa faute, uniquement de sa faute… Encore une fois, elle se soumit. Pour se faire pardonner. Malgré la position malcommode où elle se trouvait, elle retrouva son calme et contrôla son corps. La queue de Frédéric labourait ses entrailles, elle le laissa faire, se cambrant à l’extrême pour lui libérer le chemin. Elle cessa de se contracter et le chaos cessa. Le sexe voyageait désormais sans à-coup et, malgré la rudesse avec laquelle il circulait, ce n’était plus un viol dont elle était victime, juste une possession violente. Comment elle arriva à cette conclusion, personne, pas même elle, ne sera jamais capable de le dire ; son raisonnement était bien trop alambiqué. En vérité, mais elle ne l’avouerait jamais, elle voulait arriver à cette conclusion. Elle voulait être possédée et que Frédéric soit son propriétaire. Et, tandis qu’il la besognait furieusement, elle découvrit qu’elle n’était pas seulement sa chose mais son esclave. Curieusement, cela la libéra. Elle accepta son joug parce qu’elle savait qu’un jour, elle le secouerait et le ferait tomber. *** Frédéric regarda son sexe aller et ...
    ... venir dans le conduit étroit de Frédérique. A chaque fois qu’il s’enfonçait, il poussait un peu plus, comme s’il avait envie de la pourfendre de part en part. Certes, ses mouvements étaient moins frénétiques mais ni sa colère ni sa violence n’avaient désarmé et sa pondération n’était due qu’à la fatigue de ses reins. Il avait senti, par étapes, le corps de Frédérique s’abandonner à sa furie. Il avait apprécié son renoncement mais cela n’avait en rien étanché sa soif de la posséder toujours un peu plus. En la sodomisant, il prenait la part physique la plus intime qu’elle pouvait lui offrir mais ce qu’il désirait vraiment, c’était posséder son esprit : faire d’elle une poupée de chiffon qui ne penserait plus, n’agirait plus, qu’à travers sa propre volonté. Il voulait être Hannibal Lecter dévorant son cerveau… Alors il pilonna, il pilonna sans cesse le cul de sa belle femelle. Il se servit de sa chevelure ramenée en queue de cheval entre ses doigts comme des rênes dont use un cavalier pour guider sa jument. Il se vida une première fois sans cesser de la besogner, emporté par son délire. Il ne s’en rendit pas même compte. Elle non plus d’ailleurs. *** Frédérique sentit bien une chaleur inhabituelle s’immiscer dans son ventre mais le rythme endiablé que lui imposait son amant (?) ne lui laissa pas le temps d’en comprendre la raison. L’homme taraudait son cul avec une telle vivacité qu’elle était incapable d’appréhender toutes les sensations que ça lui procurait. Elle ferma les yeux, ...
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