1. Peur et désir


    Datte: 01/03/2018, Catégories: fh, fplusag, extracon, Collègues / Travail fépilée, campagne, caférestau, voyage, intermast, Oral fdanus, humour, occasion,

    ... fermeture Éclair sur la lancée. J’apprécie pleinement ce moment. Ses fesses ne sont plus protégées que par sa petite culotte, autant dire par rien. Elles sont exactement comme je les aime : de vraies fesses de quadra, fermes à souhait et un peu amples. Les savoir « délaissées » m’excite au plus haut point. Prenant pleinement conscience de l’état d’excitation dans lequel je suis, elle se met à me tutoyer et me demande avec une pointe d’inquiétude : — Tu ne veux quand même pas faire l’amour ici ?— Non, pas ici ! Je veux simplement profiter de « vous », affirmé-je, en insistant particulièrement sur le mot « vous ».— Tu ne crois pas qu’on pourrait se tutoyer maintenant ? me répond-elle, étonnée par mon obstination. On se dira « vous » devant les autres et à l’usine.— Surtout pas ! En mélangeant le « tu » en privé et le « vous » en public, on se trahit tôt ou tard. C’est obligé !— Dans ce cas on va rester au « vous », soupire-t-elle, du bout des lèvres. Bernadette semble frustrée. Il est vrai que d’une manière générale, le tutoiement est le symbole de l’intimité. Il est encore plus vrai de constater que le vouvoiement représente un formidable alibi dans le monde professionnel. Aujourd’hui, rares sont ceux qui soupçonnent une relation intime entre deux personnes qui se vouvoient. Mais le « vous » peut aussi avoir certains charmes, c’est pourquoi je crois utile de rappeler à Bernadette : — Ce n’est quand même pas la mort de dire à une femme « Vous avez un cul du tonnerre » ou « ...
    ... Vous baisez comme une déesse ».— Philippe, à la perversité vous ajoutez le raffinement des mots.— Je ne suis pas le seul ; vous m’avez bien parlé tout à l’heure de « vieilles poufs vulgaires »… Je reprends Bernadette dans mes bras ; elle plaque son corps contre moi et m’embrasse avec encore plus de fougue que précédemment. Sa langue part à la recherche de ma langue, elle tourne, elle va, elle vient, sa bouche aspire mes lèvres. Tout à coup, sans prévenir, elle s’éloigne un peu de moi et me demande avec un brin d’inquiétude : — Vous n’êtes pas trop déçu ?— Mais déçu par quoi ?— Quand je vous embrasse… Bernadette porte en elle beaucoup de pesanteurs et semble s’inquiéter de la tournure que prennent les événements. Il faut donc la décoincer avec force et vigueur, refaire son plein d’assurance en quelque sorte. Le temps est superbe, il fait chaud, le coin est sympa, mes mains vadrouillent en toute impunité sur le corps de Bernadette, mais surtout personne ne peut nous voir. L’envie me prend de décoincer Bernadette en lui faisant ce que j’ai fait à Mélanie dans sa chambre : lui donner une bonne claque bien sonore sur chacune de ses fesses. Je lui demande donc sur un ton très décalé : — Baissez un peu votre pantalon s’il vous plaît, j’ai un cadeau à vous faire… Ça va être très rapide.— Qu’est-ce-que vous voulez-faire ?— Vous donner une grande claque sur chaque fesse. Puis je reprends, très sûr de moi : — Pour leur donner une belle couleur…— Vous avez déjà fait ce genre de chose à ...
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