Peur et désir
Datte: 01/03/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
Collègues / Travail
fépilée,
campagne,
caférestau,
voyage,
intermast,
Oral
fdanus,
humour,
occasion,
... ou trois doigts, elles se montrent beaucoup plus réticentes quand il s’agit de tenter la même opération avec quatre doigts ou plus, voire avec toute la main. Alors autant ne pas se lancer dans un débat trop difficile à gagner dans des moments aussi intimes. Mes doigts et mon pouce ont pris pleine possession du bas du ventre de Bernadette ; ils sont chez eux et peuvent jouer les uns avec les autres. Seule une mince paroi fine et sensible les sépare. Ma main gauche peut à son tour entrer en action : masser le clitoris en essayant de faire durer la montée du plaisir le plus lentement possible. Bernadette n’est pas dans la position optimum pour arriver au plaisir. Elle aurait certainement envie de s’appuyer contre quelque chose, mais rien ne le permet. — Je ne suis pas bien comme ça, finit-elle par me dire ; je serais mieux à genoux.— Faites attention à ne pas vous salir, lui dis-je en retour.— Ce n’est pas grave, je verrai ça après. Bernadette se met à quatre pattes, les jambes écartées au maximum de ce que lui permet son pantalon : — Caressez-moi plus fort devant ! me demande-t-elle soudain. Constatant que Bernadette ne souhaite pas patienter encore trop longtemps, je lui fais remarquer sur un ton très ironique : — Bernadette, quand on est une femme bien élevée, on dit « s’il vous plaît ».— « S’il vous plaît », mais vite, me réplique-t-elle immédiatement. Ma main gauche s’affaire avec plus de fermeté sur son clitoris pendant que ma main droite poursuit son onctueux massage ...
... interne. Tout à coup, Bernadette met ses coudes sur le sol, pose sa tête sur ses mains, puis se met à crier : — Plus fort, Philippe, plus fort ! Sa chatte est grande ouverte ; son petit trou – qui n’a plus de « petit » que le nom – fait l’objet de spasmes violents, il tente d’aspirer mon doigt dès que je fais mine d’en sortir. Je ne m’imaginais pas Bernadette aussi passionnée dans sa recherche du plaisir. Tout son corps est de la partie : son ventre, ses cuisses, ses fesses. De petites gouttes de sueur glissent sur le bas de son dos. Vient enfin le grand râle final, avec une discrétion qui n’est plus de mise. Je me hasarde à suggérer à Bernadette de se faire plus discrète, de crier moins fort : — Si jamais quelqu’un passe, il pourrait vous entendre, lui dis-je avec beaucoup d’ironie.— Tant pis, on est tout seul… Bernadette sait prendre le plaisir qu’on lui offre, avec démesure, voire avec une certaine violence. Je l’ai serrée si fort et je me suis tellement démené que j’ai l’impression d’être aussi épuisé qu’elle. — Vous allez me prendre pour une hystérique, me dit-elle après avoir repris partiellement ses esprits.— Non, tout au plus pour une femme qui avait une grosse envie de se lâcher.— Je suppose que je dois vous dire merci.— Oui, mais n’oubliez-pas de penser un peu à moi, me crois-je obligé de lui rappeler.— Bien sûr, vous l’avez bien mérité. Bernadette fait mine de se rhabiller. Je l’en dissuade : — Tournez-vous, j’ai une dernière chose à vérifier avant de passer à la ...