Peur et désir
Datte: 01/03/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
Collègues / Travail
fépilée,
campagne,
caférestau,
voyage,
intermast,
Oral
fdanus,
humour,
occasion,
... suite. Bernadette s’exécute. La marque de ma main est toujours bien visible sur chacune de ses fesses. — Vos fesses sont toujours bien marquées, lui fais-je remarquer ; j’ai fait du bon boulot tout à l’heure. Et je poursuis : — En tout cas, vous savez alerter tous les environs quand vous prenez votre pied.— Vous m’avez rendue folle…— C’est ce que j’ai entendu, lui fais-je remarquer en souriant. Bernadette se serre de plus en plus fort contre moi, presque à m’étouffer. Ses fesses contractées au maximum deviennent dures comme de l’acier. J’ai presque l’impression qu’elle va avoir un nouvel orgasme sans que j’aie à la toucher. C’est alors qu’elle me demande avec beaucoup d’insistance : — Refaites-moi jouir… j’en ai encore besoin.— Parce que jamais deux sans trois ?— Ce n’est pas le moment de compter, me réplique-t-elle.— Ici ou dans la voiture ?— Où vous voulez…— Et moi, suis-je obligé de lui demander ?— Je m’occuperai de vous après, c’est promis.— Vous êtes une femme directive à vos heures… Bernadette remonte sa petite culotte et son pantalon, puis nous nous dirigeons vers la voiture. Je lui demande de la mettre légèrement de biais de telle sorte qu’on ne puisse être vu ni par derrière du fait de son inclinaison, ni par-devant du fait de la portière ouverte. Cette manœuvre faite, Bernadette me donne une lingette pour que je puisse me rafraîchir le visage et les mains. J’avance ensuite au maximum le siège passager et j’ouvre une carte routière que je pose sur le dossier du ...
... siège avant. Je demande alors à Bernadette de mettre son pantalon et sa petite culotte à mi-cuisses, puis de s’allonger sur le dos. — Si quelqu’un arrive, consultez la carte sans sortir de la voiture, moi je prendrai des photos de la vieille usine avec mon iPhone.— Vous pensez à tout. Je ne réponds pas à Bernadette que j’ai une certaine expérience de la situation, car elle me prendrait pour un collectionneur d’aventures que je ne suis pas. Par contre, c’est vrai que quand une bonne occasion se présente, j’essaye de ne pas la laisser s’échapper. Bernadette se couche de dos sur la banquette arrière, puis fait glisser pantalon et petite culotte à mi-cuisses. Elle a fait la séquence inverse de ce que je lui avais suggéré. C’est moins commode, mais on arrive au même résultat. Le seul vrai problème, c’est qu’avec un pantalon c’est mille fois moins efficace qu’avec une jupe ou avec une robe. Une fois installée, je n’ose pas dire confortablement, Bernadette me demande très naïvement : — Vous allez me faire l’amour ?— Non, pas dans ces conditions. On verra ça demain, lui dis-je avant d’ajouter : excusez-moi, mais j’aime mon confort et la convivialité… sinon on n’aurait pas besoin d’alibi.— Mais alors, qu’est-ce que vous allez me faire ?— Je vais vous léchouiller, vous déguster, vous savourer… en deux mots vous faire un petit cunni… Bernadette ne réagit pas, c’est pourquoi je crois utile de lui préciser : — C’est ma langue qui va s’occuper de votre joli minou.— Mais c’est très indécent…— ...