Peur et désir
Datte: 01/03/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
Collègues / Travail
fépilée,
campagne,
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voyage,
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Oral
fdanus,
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... Pas plus que la minette de tout à l’heure.— C’est vrai, se voit-elle obligée de reconnaître.— Et maintenant mettez-vous en position. Écartez vos cuisses au maximum et repliez vos jambes. Il me faut un minimum d’espace pour bien faire mon travail. Bernadette s’exécute. La position dans laquelle elle se trouve est particulièrement indécente. J’en souris quand je pense que mon intimité avec cette femme a moins d’une heure. Je me saisis d’une revue professionnelle qui traîne dans le vide-poches et je la mets sur le sol pour pouvoir me mettre à genoux sans trop me salir. La chatte de Bernadette est maintenant à moi. Une chatte humide, brillante, prête à être dégustée. Quand ma bouche entre à son contact et que ma langue la pénètre, Bernadette pose ses mains sur ma tête et me dit en me tutoyant : — Philippe, avec toi je suis une vraie fontaine… Suivi par : — Que c’est bon, j’adore… Les cuisses de Bernadette touchent mes joues et son pantalon me sert de chapeau. Quand je commence à sucer délicatement son clitoris, puis à le mordiller et à l’aspirer, je me rends compte que Bernadette ne mettra pas longtemps à avoir son troisième orgasme, et ce en moins d’une heure. Trois à zéro en sa faveur. Le frère cadet de mon père, qui est un dragueur invétéré, m’aurait dit en parlant d’elle qu’elle a un « tempérament du feu de Dieu », et il n’aurait pas tort. C’est la première fois de ma vie qu’une femme que je pensais très difficilement accessible, une femme à qui j’aurais pu donner le bon ...
... Dieu sans confession m’invite à la séduire le temps d’un repas, moins le dessert. Comme quoi… Je me mets à penser que dans quelques heures, après la visite du musée, c’est Mélanie qui va me tomber dessus… et que demain matin ce sera à nouveau au tour de Bernadette avec notre alibi en béton. Comme je ne suis pas un surhomme, bien que tenant une bonne forme, il va falloir que je joue fin. Il est hors de question que j’ai la moindre « panne » ni avec l’une, ni avec l’autre, il faut donc que je me ménage mes forces. Bernadette connaît mon aventure avec Mélanie ; elle est donc en mesure de le comprendre. Il n’en est pas de même pour Mélanie, qui ignore tout de cette aventure. Mon unique solution est donc d’épuiser Bernadette sans trop me dépenser. Cerise sur le gâteau, demain soir je passe ma nuit à Peyrepertuse avec Mélanie, une nuit suivie le lendemain matin par une visite du château où l’on doit y faire des « bêtises ». Très durs moments en perspective… quoique particulièrement sympathiques. Je suis sorti de mes « viriles » réflexions par les premiers râles de Bernadette. Elle semble un peu plus discrète que précédemment, mais pas de beaucoup. Je saisis ses cuisses à pleines mains, et avec ma langue je m’active sur son clito que je n’hésite pas à mordiller du bout des dents. C’en est trop pour elle. Elle ne sait plus si elle doit essayer d’écarter encore plus ses cuisses ou au contraire les serrer. Mais peu importe, car le résultat est qu’elle se met à jouir violemment en inondant ...