La boutique
Datte: 01/03/2018,
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... le clitoris de Valérie. Son pouce fut absorbé d’un coup. La douleur vive et fugace fit serrer les dents de Valérie, puis le plaisir déferla. Joseph et Gérard explosèrent dans sa bouche presque simultanément. Une seconde plus tard, Michel lui arracha un orgasme plus clitoridien qu’anal et parvint, en quelques mouvements, à jouir à son tour sur les rondeurs qu’il avait si précieusement torturées. Valérie rejoignit son bureau, pantelante. Par la baie vitrée, un coup d’œil lui permit de voir Bertrand qui remontait son pantalon. Devant lui, Françoise semblait aussi perturbée qu’elle. Elle peinait à tirer sa jupe sur ses bas dont au moins une jarretelle avait été défaite. Son chemisier déboutonné et ouvert laissait voir sa poitrine dégagée de la guêpière. Quelle belle femme ! Elle ne fit pas immédiatement la relation entre cette réflexion et les images de Joseph et Gérard qui flottaient dans sa tête. Les hommes ne mirent que quelques minutes à ranger les derniers panneaux, qu’ils avaient déposés dans l’entrée, pour finir l’installation dans la salle de présentation. À peine furent-ils partis que Françoise se présenta dans le bureau de Valérie. Elle lui sembla plus froide que jamais. — Au lieu de rêvasser, allez me faire ce lit ! Vous savez où sont les draps ?— Bien Madame… En d’autres temps, elle se serait offusquée du ton et du manque de politesse de la demande. Mais après ce qu’elle avait vécu, elle accepta l’ordre sans ciller. — Et remettez-vous ! Vous avez vu cette tenue ? ...
... Françoise lui pinça le sein tandis qu’elle passait devant elle pour sortir du bureau. Valérie répondit entre désir et larmes : — Oui Madame.— Vous serez punie pour cet accoutrement !— Bien sûr Madame, comme il vous plaira. Punissez-moi de m’être donnée à ces hommes, Madame. Oui, fessez-moi, Françoise, offrez-moi, Maîtresse. Toutes ses pensées alimentaient son désir. Plutôt que de remettre son sein dans son soutien-gorge, elle le triturait. Une claque sur la fesse lui fit reprendre conscience. — Cessez, vilaine ! Au travail ! Valérie alla quérir le nécessaire pour faire le lit dans l’entrepôt, à l’arrière de la grande salle. Tout en marchant, elle prenait conscience de l’humidité qui envahissait sa vulve, perlait sur sa cuisse et glissait jusqu’à ses bas. Elle posa draps et couverture sur le lit sans ressentir le trouble qui l’avait envahie chaque fois qu’elle s’en était approchée. Sa tête était encore pleine des images de la journée et entre ses jambes le désir sourdait en continu. Elle se donna de l’aisance en retirant sa veste de tailleur qu’elle posa sur une chaise, sur le côté. Au mur, immédiatement au-dessus de la chaise, son regard s’attacha à une cravache qu’elle pensait n’avoir jamais remarquée. Toute noire à l’exception de son manche d’ivoire ouvragé, on ne pouvait pourtant pas la rater. Son sexe crépita quand elle glissa un doigt sur les motifs de cette poignée blanche. Elle s’en détourna pour terminer son travail. Il fallait qu’elle rentre vite, la journée avait été ...