1. La boutique


    Datte: 01/03/2018, Catégories: fh, ff, hh, fhhh, frousses, Collègues / Travail gros(ses), magasin, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, BDSM / Fétichisme Masturbation Oral pénétratio, fdanus, fsodo, sm, fouetfesse, fantastiqu, fantastiq, fsoumisaf,

    ... longue et éreintante. Le bourdonnement des fantasmes dans sa tête enflait à mesure qu’elle couvrait le lit. Elle s’était appliquée à lisser le drap sur le matelas pendant que le corps de sa patronne envahissait son esprit, se glissant sous ses mains fiévreuses. Quand elle avait tendu la couverture, elle s’était imaginée écartelée sur le lit, entre quatre cordes, tandis que Françoise la dévorait. Maintenant que le lit était fait, qu’elle avait posé le couvre-lit et les oreillers, c’était comme si elle vivait hors du temps ou dans une autre dimension, tant les fantasmes se succédaient, toujours plus réalistes. Elle avait déjà posé un genou sur le lit, le second le rejoignit. Elle écarta les jambes pour se caresser. Elle écrasa sa tête sur le lit pour libérer ses bras et posa ses mains sur l’arrière de ses cuisses. Elle griffa ses bas jusqu’aux jarretières, les dépassa pour glisser sous la jupe, et les posa sur ces fesses qui avaient été si divinement malaxées par Michel. Après quelques secondes, elle se surprit à passer son ongle sur son œillet avant de revenir caresser les jarretières de ses bas, l’intérieur de ses cuisses, son aine, sa fente. Autour d’elle, les apparitions prenaient corps. Les fantômes de ses fantasmes s’approchaient d’elle. Elle crut sentir leurs mains sur son corps. Elle en reconnut quelques-uns. D’anciens amants. Des femmes habitaient cette foule d’âmes qui se consumaient autour d’elle. Ses sensations enflaient. Elle sentit un doigt la pénétrer tandis ...
    ... que les siens restaient serrés sur la langue de peau au-dessus de ses bas. Elle ne réfléchissait plus. Elle se laissa bercer par le doux plaisir de la caresse fantomatique. Au cœur de la foule, un homme retint son attention. Elle le distinguait mal et se concentra sur lui. La foule s’écarta et le laissa avancer. Il était nu. Tous étaient nus. Son sexe était tendu. Elle approcha les lèvres pour le happer. Schlliiik ! — Aie ! Une morsure sur sa fesse la sortit de sa rêverie. Schlliiik ! — Hummmmm ! De nouveau une douleur. Elle l’attendait, celle-là, mais la douleur n’était pas si forte. Au contraire. Plutôt une caresse très appuyée qui réveilla ses sens. — Je croyais vous avoir prévenu, ma petite. La voix de Françoise résonna comme une nouvelle claque dans sa tête. Elle se retourna pour voir sa maîtresse. Françoise était debout à quelques dizaines de centimètres du lit. Sa jupe de cuir était relevée sur ses jambes et laissait apercevoir la jarretière rouge des bas coutures. Le chemisier de soie rouge était déboutonné jusque entre les seins et laissait respirer le papillon de dentelle rouge qui ornait sa guêpière. Un rouge à lèvres couleur sang maquillait ses lèvres serrées, tandis qu’un trait léger relevait le regard encore endurci. Dans sa main, elle tenait la cravache au manche d’ivoire. Françoise était naturellement dominatrice. Cette position lui seyait parfaitement. Elle l’excitait aussi. Voir cette petite pute se caresser à quatre pattes sur le lit lui avait presque fait ...
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