1. Paul et Béa


    Datte: 11/07/2017, Catégories: fh, fhh, inconnu, vacances, sexshop, cérébral, Oral pénétratio, confession, couple,

    ... volontiers tenter, mais j’ai tellement peur d’y rencontrer une connaissance et d’en ressortir honteuse que je préfère ne pas accepter. Si je vous ai expliqué tout cela, c’est pour que vous puissiez comprendre que ce que je vais vous raconter maintenant n’est pas simplement le fruit du hasard, mais plutôt l’aboutissement de plusieurs années de fantasmes sexuels. --------------------- Enfin les vacances ! Comme chaque année, nous partons quelques jours en Espagne, dans la région de Barcelone. Hôtel, restos, plage, balades, visites, spectacles, c’est un bon résumé de nos activités quotidiennes durant cette période en pays étranger. Ni Paul ni moi ne parlons un mot d’Espagnol, ce que je trouve d’ailleurs d’autant plus dépaysant. Lors d’une balade nocturne dans les rues de Barcelone, après avoir stationné notre voiture en bord de mer, nous passons par hasard devant un sex-shop : pas besoin de traducteur, l’enseigne était clairement identifiée, lumineuse, rouge sur un fond noir, en gros caractères. La vitrine entièrement fumée ne nous permettait pas de voir ce qu’il pouvait s’y trouver à l’intérieur. — On rentre ?— Non laisse tomber Paul, j’ai pas envie.— On ne craint rien ici, on passera incognito.— Non, je te dis, laisse tomber. On ne sait même pas ce qu’il y a dedans, on y voit rien au travers de cette vitrine.— C’est fait exprès ! Tu les vois étaler leurs jouets à vendre ou leurs CD pornos à la vue des gamins qui pourraient passer devant la vitrine.— Allez avance, on ...
    ... continue la balade.— Dommage, c’est pas demain que nous aurons à nouveau une si belle occasion d’en visiter un.— Belle occasion ! Parle pour toi, moi je m’en fous.— C’est pas toujours ce que tu dis !— Oui, mais ça, c’est quand je suis excitée, et là, c’est pas le cas.— Bon tant pis, je vais me faire une raison.— Voilà c’est ça, tant pis, et fais-toi une raison ! Trouvons plutôt un resto, il est déjà plus de 22 heures, je commence à avoir faim. Nous avons continué notre balade et nous avons trouvé mon bonheur trois rues plus loin, un petit tapas où nous avons commandé notre repas en terrasse. — Tu déconnes, c’était l’occasion ou jamais !— J’en étais sûre que tu allais m’en reparler, arrête d’être obsédé comme ça !— T’es bien contente quand ton obsédé te fait jouir.— Chut ! Allez, change de sujet, il y a du monde, on pourrait t’entendre.— Ils ne parlent pas un mot de français ! Je ne lui avouais pas, mais il avait raison : nous n’aurions peut-être pas de sitôt la possibilité de visiter un tel lieu sans crainte d’y rencontrer une connaissance. Je n’avais peut-être pas pris la bonne décision, j’aurais peut-être dû accepter la visite de ce lieu coquin. Serais-je déjà en train de regretter de ne pas avoir accepté ? Je le connais vraiment par cœur : sur le chemin du retour en direction de notre voiture, Paul s’est arrangé pour nous faire retraverser la rue où se trouvait le sex-shop. Me connaissant lui aussi très bien, il n’avait pas osé insister à nouveau pour y entrer, au risque de me ...
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