Paul et Béa
Datte: 11/07/2017,
Catégories:
fh,
fhh,
inconnu,
vacances,
sexshop,
cérébral,
Oral
pénétratio,
confession,
couple,
... soupçons se sont confirmés et c’est dans un réflexe d’éloignement en me blottissant contre Paul que je me suis exclamée : — Paul, regardes, y a un sexe qui dépasse du trou, mon dieu, éclaire, vite ! Paul s’est levé, il a cherché un interrupteur contre les murs en tapotant aux alentours de la porte avant de pouvoir allumer une lumière rouge peu intense qui nous permettait tout de même de pouvoir observer ce sexe qui dépassait de ce trou. Je me suis à mon tour redressée pour me caler debout contre mon homme avant de passer en mode chuchotage : — Paul, qu’est-ce qu’on fait ?— Tu veux qu’on parte ?— Attends, regarde comme il est gros et raide et il est tout saucissonné.— Je vois, c’est sûrement pour ça qu’il est si gros et qu’il semble si dur. Le trou était suffisamment grand pour laisser dépasser le sexe et les testicules de l’homme qui s’était plaqué contre le mur derrière notre pièce. Ces couilles étaient étroitement ficelées à leur base par plusieurs tours d’un petit cordon noir, ce qui avait pour effet de réduire considérablement l’espace dédié aux testicules dans leur habitat. La peau rougeâtre et tendue laissait se dessiner parfaitement les deux boules compressées de notre invité. De la même façon, la base de sa verge était ficelée à l’aide d’un petit cordon noir qui semblait lui aussi extrêmement serré autour de cette tige. Ce ficelage lui procurait une érection hors norme, son gland décalotté gorgé de sang pointait fièrement dans notre direction. Devant ce spectacle ...
... souvent fantasmé, mon cœur s’est mis à battre plus rapidement, mon excitation déjà avancée ne faisait que s’amplifier, j’ai serré la main de Paul dans la mienne et toujours en chuchotant, il me suggéra de réaliser son fantasme candauliste : — Tu veux le toucher ? Il n’attend que ça !— Tu… tu crois… Le pire, c’est que j’en ai envie.— Ben alors passe tes doigts dessus, il ne va pas te mordre !— Et toi, t’es sûr, ça ne te dérange pas si je le touche ?— Ben non, puisque je te le dis, allez, fais-toi plaisir cochonne C’est d’une main tremblante que j’ai posé deux de mes doigts à la base de cette tige dressée pour en parcourir toute la longueur jusqu’au gland. Je dois avouer que le fait de pouvoir toucher en toute impunité un sexe qui n’est pas celui de mon homme me mettait dans un état d’excitation que je n’avais pas rencontré depuis ma première fois avec Paul. J’ai massé timidement un instant ce gland gonflé en faisant glisser mon pouce et mon index dessus, tout en prenant soin de presser délicatement sur son frein à chaque passage. Sous l’effet de ces petites pressions que j’exerçais sur cette surface, le sexe émettait des secousses de plaisirs, le forçant à se redresser davantage à chaque caresse. J’ai ensuite libéré cette magnifique fraise pour aller pétrir les couilles dans leur emballage étroit. Cette peau fine, extrêmement tendue et sans aucun poil, permettait un contact parfait de ces deux olives avec le creux de ma main. Je l’ai massée ainsi un instant. Paul s’est placé dans ...