La joggeuse avait la cuisse légère
Datte: 01/03/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... tout en allongeant la foulée. A la fin du parcours, ils décidèrent d'aller prendre un pot ensemble pour mieux se connaitre, une serviette éponge autour du cou et malgré l'envie réciproque d'une douche. Le grand blond s'appelait Dieter, il était Allemand, mais vivait en France depuis plusieurs années avec femme et enfants. Il finit par avouer que ses liens avec sa femme s'étaient distendus et même "qu'elle s'était laissée aller". Aurélie ne dit mot mais pensa fortement à son cas personnel. "Ce type est mon correspondant masculin", se dit-elle. ************ Les jours suivants, ils coururent côte à côte. Moins vite certes, mais avec une conversation plus soutenue. Peu à peu, une évidence se fit dans leur esprit : ils allaient baiser ensemble. Aurélie résista longtemps à la tentation mais son bas-ventre prenait de plus en plus le dessus sur sa morale. Elle rêvait la nuit à la bite de Dieter, dont elle avait observé la forme lourde sous le mince short d'athlète. Restait à savoir où et quand l'adultère allait être consommé. Ce fut par une belle matinée de printemps où le soleil réchauffait déjà les peaux des joggeurs. Le parcours du duo l'enfonçait dans un sous-bois. Au détour d'un virage, il aperçut un couple à peine dissimulé qui s'embrassait à bouche que veux tu. Ce n'étaient pas des coureurs à pied, mais leur attitude laissait clairement supposer la suite. Quelques centaines de mètres plus loin, Dieter s'arrêta, feignant un point de côté. Aurélie buta contre lui et le contact ...
... corporel l'électrisa. Cette odeur de mâle en sueur... L'homme se retourna et sans transition, lui prit la tête et l'embrassa pleine bouche. Surprise, Aurélie ne réagit pas et devint toute molle. Elle répondit à sa langue et les deux corps se collèrent de la taille à la poitrine. Puis Dieter chercha l'entre-jambes d'Aurélie et celle-ci lui rendit la pareille de manière plus précise grâce au short court de l'homme. Son doigt trouva habilement les couilles et l'effet fut radical. Dieter banda. Long et dur. Aurélie lança un regard périphérique. Le chemin, quoiqu'étroit, pouvait être fréquenté. Elle prit Dieter par la main et l'attira derrière un buisson. Là, sans aucune gêne, elle fit passer son tee-shirt sans manches par dessus sa tête, emportant sa caquette au passage, dégrafa son soutien-gorge spécial course, baissa short et slip en même temps et ne conserva que ses chaussures. Devant cette nudité quasi totale, Dieter marqua un temps d'arrêt. Bon Dieu quel morceau ! Ces seins ronds comme des pommes, ces hanches en amphore faites pour l'amour, ce ventre légèrement bombé comme un coussin douillet, ce pubis brun taillé en triangle... Il n'eut pas le temps de se poser des questions. Aurélie s'était accroupie, avait baissé son short et l'avait embouché séance tenante en lui massant les bourses. Dieter soupira. Une dévoreuse. Il était tombé sur une dévoreuse. Elle jouait avec sa queue comme avec un jouet, se la passant sur les yeux, les joues, les oreilles, le nez... Jamais on ne lui ...