La joggeuse avait la cuisse légère
Datte: 01/03/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... avait fait ça, à Dieter. Et voilà que maintenant, tout en le suçant, elle se masturbait, une main entre ses jambes accroupies. Enfin, elle se releva, posa ses deux mains sur un arbre voisin, écarta les jambes et fit signe à l'homme, la croupe tendue : - Viens, baise-moi. La queue dressée, l'Allemand se positionna derrière la croupe blanche et profondément fendue d'Aurélie, fléchit légèrement les jambes et s'enfonça dans le trou béant avec une facilité dérisoire. Elle s'était bien préparée, la donzelle. Il se mit à clapoter avec d'autant plus d'allégresse que l'autre remuait son cul avec ardeur, cherchant l'angle qui lui donnerait un maximum de plaisir. La longueur du pénis la ravissait et elle le lui signifia entre deux onomatopées : - Tu es long et dur ! Encouragé, l'homme la mitrailla en la tenant fermement par les hanches, la levant par à coups, ce qui la faisait alternativement couiner et japper, toujours en appui sur l'arbre, la queue de cheval en bataille. Mais à force, elle eut mal aux mains. Elle mit fin à regret à cette position qui la menait tout droit à l'orgasme et offrit à son amant de la prendre par terre. Pour cela, elle rassembla ses vêtements, les étala et s'allongea dessus cuisses ouvertes, tout en retirant ses chaussures et ses socquettes : - J'aime faire l'amour complètement à poil, expliqua-t-elle, invitant son amant à faire de même. C'est donc un couple entièrement nu qui adopta la position dite du missionnaire. Aurélie enroula son amant de ses longues ...
... jambes et pressa pour l'enfoncer profondément en elle, les griffes plantées sur ses fesses velues. Stimulé, l'homme procéda à des coups de bite très secs qui obtinrent vite le but recherché, à savoir des clameurs de sa partenaire. Il aimait les femmes bruyantes dans l'amour et il était servi. Heureusement qu'il n'y avait personne à la ronde, du moins le supposait-il. Puis il se mit à virevolter des hanches comme un danseur, d'autant qu'Aurélie accompagnait étroitement ses mouvements. Elle le lâcha enfin pour poser ses pieds nus sur le sol afin de répondre synchrone à ses coups de bite, de plus en plus pointus. Aurélie, avec l'expérience de ses 35 ans, en conclut qu'il était proche de l'éjaculation. Mais elle en voulait encore. Alors, elle le força à s'allonger à sa place et s'empala sur lui accroupie, position qui lui offrait une pénétration profonde mais laissait peu de chances à son amant de retenir longtemps son sperme. Le rictus de l'homme qui expulsait sa semence en elle la fit jouir et elle prononça quelques mots crus à faire rougir les arbres alentours. Elle bascula sur lui, lui offrant ses lèvres, enfin comblée et soufflant entre deux râles : - Merci, j'en avais vraiment besoin. ********** Ces ébats sylvestres durèrent quelques semaines, parfois pimentés par l'observation d'un voyeur, car leurs escapades avaient fini par alerter les rôdeurs. A sa grande surprise, Aurélie n'en fut pas choquée. Elle y trouva même une excitation supplémentaire, l'essentiel étant que le ...