La joggeuse avait la cuisse légère
Datte: 01/03/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... appétissantes, et plus encore son entre-cuisses dont ils avaient perçu la nudité. Aurélie croisait et décroisait les jambes avec un brin de perversité, ce qui amusait Viviane, fort satisfaite de voir son amie allumer ses invités. L'hôtesse s'était assise entre les deux footballeurs et décida de lancer les hostilités en les enlaçant de ses bras puis en les attirant vers ses seins largement découverts. - Allez les gars, chauffez-moi ! leur lança-t-elle. Aurélie, fascinée, regarda les deux jeunes hommes saisir chacun un des deux seins lourds et les téter avec avidité tout en glissant une main entre les cuisses ouvertes de l'hôtesse. Le lanceur de javelot se rapprocha de la joggeuse, s'assit à ses pieds, et lui caressa les cuisses. Elle sentit une bouffée de chaleur dans son ventre tandis que Viviane attrapait le bas de son déshabillé pour le faire passer au-dessus de sa tête et s'offrir entièrement nue, charnue et presque maternelle... - Déshabillez-vous aussi, mes chéris ! ordonna-t-elle aux deux footballeurs. Ceux-ci offrirent au regard d'Aurélie leur corps sec aux muscles apparents et leur appareil génital ferme et bien développé avec une érection naissante. Cette vision électrisa la joggeuse qui en écarta les cuisses par réflexe, et Romuald, le lanceur de javelot, y vit à juste titre une invite à exploration. La robe troussée jusqu'au nombril, Aurélie attira la tête de l'athlète vers son bas-ventre en se laissant glisser le long du fauteuil afin qu'il fut plus à l'aise. ...
... Une langue chaude et épaisse prit possession de sa fente et elle ferma les yeux en gémissant. Une abondante sécrétion envahit le menton du lécheur qui en aspira le suc tout en poursuivant sa fouille linguale. Aurélie sortit de sa torpeur lorsqu'elle entendit de fort bruits de succion. Face à elle sur le canapé où elle était toujours assise, Viviane suçait à tour de rôle les deux footballeurs debout, se mettant parfois les deux queues dans sa bouche. - Je me régale ! lança-t-elle à sa collègue. Et toi, c'est bon ce qu'il te fait ? Aurélie fit oui de la tête. - Mais qu'est-ce que tu attends pour te mettre à poil ? Tu vas la tacher, ta jolie robe. Après avoir défait la fermeture éclair dans son cou, Aurélie se débarrassa de son seul vêtement, dévoilant ses seins ronds et ferme aux pointes érigées par le désir. Le lanceur de javelot se leva à son tour et lui tendit une queue que la joggeuse jugea magnifique : longue et épaisse, parfaitement décalottée, légèrement incurvée et soutenue par une paire de couilles d'une lourdeur impressionnante. Jamais elle n'avait vu un mec aussi bien équipé. Il est vrai que le reste du corps était à l'unisson avec un torse sculptural et des jambes comme des troncs d'arbre. Un corps fait pour la baise, se dit-elle, brûlante de la tête aux orteils. Viviane avait sorti trois préservatifs d'une boite pour les tendre aux trois gigolos car on allait passer maintenant au stade suivant. Bien échauffées, les deux femmes étaient maintenant impatientes d'être ...