1. Pris la main dans le bac (3)


    Datte: 02/03/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... grand plaisir à frotter mon sexe sur des draps de satin. Il arrivait de temps à autre à Geneviève de se plier un petit peu pour saisir mon sexe et le caresser; j’en retirais un plaisir formidable. Une fois qu’elle avait pris suffisamment de plaisir grâce à ma prestation buccale, il fallait que je vienne me glisser en elle. Il lui arrivait de me griffer tellement fort que même à travers les vêtements cela me laissait de rouges traces. Je pense que Catherine n’était pas dupe quand elle voyait ce marquage au rouge, elle savait que Geneviève avait profité de moi. Mais ma maîtresse originale ne disait rien, j’étais là pour répondre à ses désirs ces derniers étant bien moins importants que ceux de Geneviève. Quand j’étais en elle, excepté le fait qu’elle me griffe un peu fort, Geneviève était d’une grande douceur très câline et adorant embrasser. ndxnwwvs Pendant que mes jambes gainées de collants voile se frottaient l’une à l’autre, je m’accrochais aux épaules de ma partenaire pour aller le plus loin possible en elle. Je n’avais jamais pris autant de mon pied qu’avec ces 2 femmes de plus de 20 ans que moi et qui me comblaient à merveille. Avec Geneviève je ne passais par l’issue de derrière que quand nous étions tous les trois sinon nos rapports étaient des plus conventionnels. Par contre de son côté Catherine adorait que je la prenne par derrière dans la cuisine, ou appuyée sur la table du séjour ou appuyée sur le mur des toilettes et il m’est même arrivé de la ...
    ... prendre sur le capot de la voiture. Par correction, j’ai toujours veiller à partir avant ma partenaire et elles appréciaient beaucoup le geste. J’aimais beaucoup sentir la pointe dure des seins de Geneviève érafler mon corps. J’aurais volontairement comparé Geneviève à une tigresse pour ce qui est du rapport sexuel tant elle était désireuse, demandeuse et autoritaire. Quand je partais en elle j’avais le coup de barre habituel et en fait je m’allongeais sur le dos en restant emboîté en elle. Nous restions l’esprit entre deux eaux une demi-heure durant; histoire de les reprendre nos esprits... C’est un moment magique après l’amour que j’apprécie et savoure toujours. Ensuite Geneviève se levait vêtue d’une nuisette ou d’un déshabillé toujours fin, elle allait faire sa toilette intime et puis ensuite nous descendions manger un petit quelque chose. Rien que de la voir, ainsi vêtue, se promener dans la maison mon érection revenait très rapidement. Une fois le ventre plein nous remontions nous coucher quelquefois pour nous endormir, d’autre fois pour remettre ça. Après plusieurs mois à ce rythme je me disais que leurs deux maris passaient à côté de choses formidables et que j’étais le petit chanceux qui en profitait. Voilà donc plusieurs mois que maintenant je n’avais plus besoin de copine, j’étais heureux avec ces deux femmes dont j’étais l’amant; même si je culpabilisais un peu. On verra si l’histoire vous plaît et qu’elle est publiée, j’y rajouterai un chapitre 
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