L'INCONNU DU CINEMA (6)
Datte: 03/03/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... encore un peu bouleversée et nous n’avons plus osé reparler de Marc jusqu’au soir. Sur le chemin du retour je cherchais à découvrir quelle pouvait bien être cette fameuse surprise, si toutefois ont pouvait appeler cela une surprise, car connaissant nos deux compères il ne pouvait s’agir que d’un piège de plus. wbqwnncj De toute façon cela devait avoir encore un rapport avec le sexe, que pouvaient-ils me réserver de plus ? J’allais bientôt en avoir le cœur net car je voyais déjà la maison au bout de la rue. — Bonsoir chérie, tu as passé une bonne journée ? — Oui et non, j’ai eu comme un nœud au ventre et je suis anxieuse. — C’est peut être a cause de ta future semaine de formation — Quelle… heu…oui c’est surement ça… mais qui te la dit ? — Et bien tu sais, c’est le patron de Marc qui m’en as averti par téléphone — Par téléphone ? — Oui, vu que nous sommes mariés, il ne voulait pas te confirmer sans avoir mon aval — Ha oui, c’est gentil de sa part — Sachant que cela est important pour toi, je lui ai donné mon accord et je lui ai garanti que tu ne leurs dira pas non. — Mais, tu sais une semaine c’est long — Oui mais tu verras ça passe très vite et puis sa te fera beaucoup de bien, parfois ça fait du bien de se faire prendre en main. — Oui, tu ne sais pas si bien dire… — Donc vous partez tous Dimanche prochain, c’est ça ? — Heu…oui… mais j’attends la confirmation… c’est pour ça… que je ne t’en avais pas parlé, ce n’était pas encore sur. — Tu voulais me faire la surprise mais tu ...
... as été trahie, ils ont été plus rapides — Ça c’est sur ils sont très rapides. Maintenant je savais ce qu’ils me réservaient, pendant toute une semaine, nuit et jour et avec l’accord de mon époux j’allais devenir leur soumise attitrée, ces deux pervers étaient vraiment très forts et avaient de la suite dans les idées. Dans ma situation je ne pouvais même pas me défiler, de toute façon ils n’accepteraient aucune excuse et conservaient les moyens de m’y contraindre alors pourquoi fuir l’inévitable. Quatre jours me séparaient encore de ma prochaine débauche, jours pendant lesquels je n’ai cessé de penser à ces dernières semaines, à toutes ces jouissances que j’ai découvert grâce à eux, eux mes amants pervers. Mais je gardais une affection toute particulière pour Marc, car c’est lui qui ma découverte, c’est lui qui m’éduque et me libère de mes tabous et si je forniquais avec d’autres c’est parce qu’il le souhaitait, parce que je voulais lui faisait plaisir. Ce samedi soir là, je préparais tranquillement ma valise lorsque mon mari est venu me rejoindre dans la chambre. — Tu veux de l’aide mon amour ? — Non merci, c’est rapide juste quelques fringues et le tour est joué — Comment ça quelques fringues, mais je veux que tu sois la plus belle et tu ne prends même pas tes petites robes sexy. — Mais je ne peux pas… et tu ne seras pas avec moi — Qu’est ce que ça change ? Là ou pas là, je veux que tu sois belle, sexy et désirable, je veux que tous les hommes bavent sur ton passage — Tu n’es ...