1. L'arrivée


    Datte: 04/03/2018, Catégories: fh, couple, fête, toilettes, BDSM / Fétichisme chaussures, Oral

    Cath et moi avons toujours aimé les mariages. Les gens sont heureux ou font semblant de l’être. Ils font un effort sur leur tenue vestimentaire. Et il arrive qu’avec l’alcool, des choses étonnantes se produisent… C’était en septembre, pour l’union de nos amis de Paris. Travaillant ce jour-là, il nous était impossible d’être présent pour la cérémonie, nous avions donc rendez-vous dans un restaurant de la mère de la mariée en banlieue. Comme à son habitude, Cath s’était habillée comme ça me faisait plaisir. Un décolleté prononcé mais sans choquer, la veste en cuir chocolat que je lui avait offerte et une jupe en cuir fendu sur le devant de la cuisse qui complétait l’ensemble. Ses jambes gainées de collants marrons très très fins se terminaient par les escarpins Kenzo qu’elle s’était payés une semaine avant. Déjà en voiture, sur le chemin du restaurant, elle me lançait des regards langoureux qui promettaient une soirée délicieuse. Arrivés sur le parking, elle se pencha vers moi posant sa main entre mes jambes sur le siège de la voiture et m’embrassa dans le cou. Je sentais son parfum vanillé et je distinguais la dentelle de son soutien-gorge. Elle sentit mon souffle se raccourcir, glissa sa main sur mon sexe et me chuchota qu’elle avait envie de faire la folle ce soir. Sur ce, elle arrête ce qu’elle était en train de commencer et sort de la voiture aussi sec. Je regarde autour de moi si je peux sortir sans révéler mon début d’érection, mais elle ouvre la portière et me sort ...
    ... littéralement de la voiture. Voyant le marié sortant pour m’accueillir, je glisse immédiatement la main dans ma poche pour essayer de cacher cette protubérance. Nous arrivons donc au buffet du vin d’honneur où nous accueillit notre hôtesse, Christine Debaullonère, la mère de la mariée. Mes copains m’avaient parlé de cette femme mais j’étais tout de même surpris du charme qu’elle dégageait. Elle était grande, rousse avec un chignon assez complexe. Un chemisier en soie blanche dessinait ses seins lourds. Elle portait une jupe droite un peu trop serrée qui donnait l’impression de jambes interminables. Cette impression était accentuée par son collant voile fin et ses escarpins. J’avoue n’avoir jamais revu ce type de chaussures. Le talon était maintenu par une fine chaînette en métal argenté et la chaussure en elle-même était en métal. On pouvait voir très clairement ses doigts de pieds vernis et également qu’elle portait du nylon de très bonne qualité. Catherine remarqua d’ailleurs mon émoi et me le fit remarquer avec complicité en me passant la main sur la fesse. Je m’avance vers Mme Debaullonère, la fixant droit dans les yeux, pour la saluer. Elle me tendit la main que je pris et recouvris de mon autre main. Elle ne semblait pas surprise de cette familiarité et j’ai même dû me retirer en premier, de peur qu’on remarque mon insistance. Elle regarda Cath un petit instant et lui sourit largement : — Bon bah on s’embrasse ! dit Cath à Mme Debaullonère. Et voilà Cath qui étreint cette ...
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