L'arrivée
Datte: 04/03/2018,
Catégories:
fh,
couple,
fête,
toilettes,
BDSM / Fétichisme
chaussures,
Oral
... belle femme ! Pressant sa poitrine contre la sienne en l’embrassant sur la joue. J’étais stupéfait. Je n’avais jamais vu Cath dans cet état d’excitation. (A part dans des moments plus intimes évidemment) Nous nous éloignons non sans laisser flâner un regard à la fois troublé et coquin à Christine. Le vin d’honneur continue tranquillement. Le champagne coule à flots agrémenté de fins amuse-gueules. Cath en profite pour titiller une tomate avec sa langue, ou se lécher de la sauce cocktail sur les doigts. Elle voit bien que je ne tiendrai jamais jusqu’au soir sans un petit hors d’œuvre. Alors elle approche doucement de moi, les yeux dans les yeux. Elle se colle à moi et me presse contre elle me posant sa main sur ma fesse. Feignant une danse, elle me fait reculer d’un pas, puis d’un autre. Sans m’en rendre compte, on se retrouve derrière une plante tout près des toilettes. Là, elle engouffre sa langue dans ma bouche et pose la main sur mon sexe. Elle me dit : « Suis moi, je veux te faire plaisir. » Je m’exécute bien sûr et la suis dans le coin pour dames. A peine rentrée dans la cabine, elle me plaque contre la porte, ouvre ma braguette et s’assied sur la cuvette. Je retiens les pans de ma veste d’une main et de l’autre prends sa tête et la dirige vers mon sexe qu’elle engouffre dans sa bouche sans attendre. Je reçois une décharge dans tout le corps. Ses lèvres pulpeuses épousent mon gland et elle me le caresse d’une légère pression de la bouche. Je bande très fort. Elle ...
... rentre mon membre entier dans sa bouche et remonte très lentement vers le prépuce. Elle le titille, le pince, joue avec, puis pousse mon sexe tendu contre mon ventre et passe sa langue de mes testicules jusqu’au bout du sexe. Là, elle passe à la vitesse supérieure en empoignant la base de mon chibre et en engloutissant le reste. Elle garde le gland sur sa langue et entame une savoureuse masturbation. Pressant fortement quand il le faut, je sens que je ne vais pas tarder à exploser. Elle sourit et redouble d’ardeur, j’appuie sur sa tête pour qu’elle ne lâche pas prise, me retiens encore un instant puis explose dans sa bouche. Elle avale ce qu’elle a dans la bouche, lèche ce qui reste sur mon sexe, me nettoie et me regarde, l’air satisfaite. Elle se relève, se réajuste puis sort se remaquiller au lavabo. Je me rends compte de l’endroit où je me trouve. Je suis dans les toilettes des femmes et il va falloir que j’en sorte. C’est à ce moment que la porte s’ouvre. Je m’enferme précipitamment dans la cabine et écoute ce qui se passe. — Ah, c’est vous ! dit Catherine.— Oui, Je suis venue vous prévenir qu’on allait passer à table. C’était Mme Debaullonère ! Elle savait que nous étions là. — Marcus, attendez trois minutes puis sortez, je vais faire diversion, me dit-elle par la porte.— Merci, bredouillais-je. Je ne savais plus où me mettre. Elle repart alors vers la salle, Cath la suit en gloussant. Je me retrouve seul, j’écoute toujours ce qui ce passe. J’entends une voix forte puis un ...