Le voyage vers les terres de l'amour... - Histoires de Sexe

Le voyage vers les terres de l'amour...

Comme promis depuis si longtemps à moi-même autant qu’à toi, ma douce créature, j’organisai donc le voyage vers les terres de l’amour… Il y a si longtemps que j’avais en tête la moindre partie de ton corps et la moindre idée que je pourrais avoir en ta présence. Tu m’avais écrit tant de textes à l’envolée érotique qui m’avaient plus d’une fois fait trembler et gémir au fond de mon lit. Je savais que tu habitais une ville du sud et que parfois tu pouvais te retrouver seule chez toi. Il ne m’en fallait pas plus pour, au travers de la messagerie, convenir d’un moment puisque l’endroit était déterminé. Je voulais te rencontrer chez toi, voler quelques moments à ta vie de couple. Un voleur d’amour, je savais que cette idée pouvait t’exciter. Donc prévenue par mes soins, tu étais libre et attendais ma venue avec impatience. Oh, l’entrée en matière fut rapide. Arrivé en fin de matinée dans ta ville par le chemin de fer, je pris un taxi qui me déposa avec un sac de voyage au pied de ton immeuble à 11 h 30 précise. Tout parfumé et surtout fraîchement rasé je sonnai à ta porte… À peine ai-je sonné que la porte s’ouvre et te laisse apparaître dans un déshabillé comme je n’en connaissais pas. Tu es là devant moi, souriante, l’œil brillant. L’ensemble me plaît, c’est à dire cette femme épanouie dans une tenue un peu provocante qui me laisse deviner des contours avantageux comme ces seins au galbe parfait ou ces cuisses profondément excitantes. Tu me fais abandonner ma rêverie en me ...

... demandant de t’embrasser. Je m’excuse de ne pas l’avoir déjà fait mais tu comprends ma stupeur. Devant ma réserve faite de timidité et ne voulant point de malentendu, tu fais glisser ta joue et me donne ta bouche à baiser. Je n’ai pas encore déposé mon sac. Sur le pas de la porte, ma bouche est contre la tienne et nos langues s’enroulent. Un baiser profond avec plein de salive. L’effet est immédiat. Tu sens aussitôt mon sexe se durcir et, pendant que je t’embrasse, toi-même tu te frottes contre moi. Je ne peux que glousser de plaisir en sentant la chaleur de tes seins contre moi. J’entends un petit bruit derrière nous, une porte qui s’entrouvre. Je me raidis à tous les niveaux mais tout en me léchant l’oreille avec ta langue – que je devine experte en bien des domaines – tu me dis de ne pas m’inquiéter, que c’est ta voisine qui se rince l’œil. Je suis un peu gêné d’être observé ainsi mais c’est toi qui, en continuant à me lécher et en te frottant langoureusement contre moi, m’ouvre cette perspective nouvelle… Je me laisse aller. J’ai lâché la poignée de mon sac qui fait un bruit sec sur le sol du palier où se font face les deux appartements. Pendant nos baisers, tournant légèrement sur moi-même, j’ai pu apercevoir la porte entrouverte et deviner une forme derrière l’entrebâillement. Cela ne me gêne plus et de savoir que c’est une voisine m’excite un peu. Ma bite est durcie à l’extrême et fait une forme provocante sous mon pantalon. Pendant que je te caresse les seins – le téton ...