Le voyage vers les terres de l'amour... - Histoires de Sexe

Le voyage vers les terres de l'amour...

... refermée, au contraire elle s’est entrouverte un peu plus et je devine dans la pénombre le visage aux aguets d’une voleuse de plaisir. Sur le palier il règne une lumière tamisée qui provient d’un vasistas au-dessus de l’escalier. J’ai envie de savoir que ta voisine nous regarde pendant que je te caresse. À mon tour, je suis devant toi à genoux. Ma bouche te bouffe la touffe, ma langue te lèche le clitoris. Tu es dans la jouissance devant cette femme que je ne connais pas qui se rince l’œil et doit jalouser notre parade amoureuse. Je suis esclave de mes sens, de mon plaisir et cette situation cocasse m’excite au plus au point. Une amante que je retrouve après maintes parades amoureuses virtuelles. Je ne suis pas encore entré chez elle et j’ai déjà eu mon orgasme. Et pour ajouter à cette folie, une voisine voyeuse comme dans les films érotiques qui guette nos ébats et semble y participer à sa façon par quelques agissements onanistes. Maintenant d’à genoux je me suis assis par terre, ma bouche toujours entre tes cuisses. Ta vulve, ton con sont tout pleins de ma salive et ma langue s’enfonce profondément entre des lèvres rougissantes de plaisir. Mes doigts s’enfoncent et vont et viennent. Tu es sur moi, tu décharges et je recueille ton plaisir dans ma bouche si délicieusement nourrie de ton bonheur. Du coin du regard, je m’aperçois que la porte de la voisine s’est ouverte davantage. Pris dans la folie du plaisir, je me masturbe car mon sexe dressé a besoin d’activité. Malgré ...

... cela, j’arrive à apercevoir la forme d’une femme dans l’entrebâillement de la porte. Comme il fait sombre (elle a dû éteindre la lumière de son appartement) en ce dernier étage, sur ce palier où nul passage ne peut nous déranger, je ne la discerne qu’imparfaitement. Une femme debout dans un peignoir ouvert. Je vois ses seins plutôt gros qui se balancent. Elle a les jambes écartées et s’active avec une main. Elle tient dans sa main un objet qui va-et-vient dans son sexe. Je le devine plus que je ne le vois mais cela m’excite et me fait bander d’autant plus. Pendant cela, tu râles, tu jouis, tu décharges encore une fois. Je ralentis ma branlette car ce spectacle de deux femmes qui jouissent de concert autour de moi me donne des envies de pénétration. Je désire entrer ma bite en toi, aller dans ton con, te prendre et te faire sentir mon envie de toi. Un petit cri derrière la porte nous fait comprendre que la voisine s’est satisfaite à sa manière. Nous pourrions bien l’inviter à se rapprocher de nous mais cela enlèverait sans doute du piment à ce jeu d’ombre. D’ailleurs sa porte s’est refermée quand tu m’as dit que nous en avons assez fait ici et qu’il est temps de rentrer chez toi. Je remonte mon pantalon et te suis alors que tu as toujours les seins à l’air. Tu ne fermes pas la porte, je t’en fais la remarque, m’étonnant des habitudes prises dans cet immeuble. Tu me réponds qu’on ne sait jamais et que la voisine pourrait avoir besoin de quelque chose. Je suis naïf mais pas à ce ...