Un inconnue découvre un paria dans sa famille (4)
Datte: 12/07/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... jours avant la mort de papa ? Je te cite : « Mon cher fils, ton grand frère est fou, il m’empêche de sortir. Je ne peux même plus aller au village me prendre ma petite bière. Depuis la mort de ta mère, il a changé. Par moment, je crois qu’il me l’a enlevée en me la tuant sans que je ne sache comment. Je vais crever comme un chien et tu ne nous réponds pas. N’aurais-tu aucune pitié, aucun pardon pour le mal que nous avons pu te faire. Tu sais, fils, nous nous en sommes voulu avec ta mère pour nos injures et tout le reste. Je vais crever sans savoir. Une personne sait tout, Sidonie, oui, tu as une nièce. Je lui ai donné la dernière photo de toi et ta sœur, ainsi que vos adresses. Je prie pour qu’elle vous trouve avant qu’il ne fasse une autre connerie. Je vous aime mes enfants, adieu. » Tu vois, j’ai tous ce qu’il me faut. Il suffit de demander pour déterrer les corps et les faire analyser. Tu as quelque… » « Alors c’est vrai, je ne croyais pas grand-père, j’ai même cru qu’il déraillait complètement dans un complot imaginaire. Je me suis plantée. Pardon Maître, pardon mille fois. Je ne suis qu’une moins que rien. » « Non, tu vaux mieux que tous ceux que je connais. Tu sais reconnaitre tes erreurs. Et puis, tu ne pouvais pas savoir. Je suis désolée ma chérie. Mais ne te fais pas de mauvais sang, une fois Isabelle de retour, je vais faire ce qu’il faut. Pour la maison, il ne pourra rien prouver, seulement qu’il voulait fuir parce qu’on avait découvert cette cassette. Ce con va ...
... nous faire passer une putain de sale moment. Mais après, on sera libre et tes grands-parents vengés. » Je pris une longue respiration en branchant ma gégène. Oui, c’est un vieux téléphone militaire de campagne, un peu bricolé, mais efficace pour faire mal à ce fumier. « Si tu ne veux en baver, y a un cahier, un crayon, fais ta déposition, mais sans nous mentir, ça vaudrait mieux pour toi mon salaud. Après lecture, je la mettrais au propre ensuite, tu signeras ! De toute manière, c’est ça ou ma gégène, fais ton choix sale vermine. » Je lui mis une bonne secouée, la cage est en métal et rien ne l’isole, lui, de la cage. Le hurlement est à la hauteur de l’électrochoc reçu. « La prochaine, c’est sur tes couilles, elles vont rôtir comme des œufs. » Sidonie m’attire hors de la pièce, ferme la porte à clef. Elle m’entraine dans notre chambre. Elle a envie de faire l’Amour, nous faisons l’Amour. Ce n’est qu’à l’aube que nous sombrons dans un bon sommeil réparateur. Dans sa cage, il écrit sa déclaration. Les cris de mon frère me réveillent, je cours dans la pièce, Sidonie l’électrocute et pas qu’un peu. Je l’arrête, je dis que si elle veut le tuer, elle n’a pas trouvé mieux. Elle s’effondre en larme. Je la porte dans notre lit, la borde, la dorlote. Un calmant plus tard, elle sombre, s’endormant rapidement. Dans la pièce, je demande la déclaration, il me la tend, il se prend mon poing dans sa gueule. Un texto m’apprend qu’Isabelle vient d’atterrir, je lui demande de venir chez moi au ...