Un inconnue découvre un paria dans sa famille (4)
Datte: 12/07/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... coup de boutoir enfonce aussi les aiguilles. Miam, c’est un rêve que je vis éveiller, enculer mon frangin. Sur le dos, Sidonie dessine des arabesques avec la cire. Merde quoi, y en a marre, je retire ma capote, autant lui faire connaitre le plaisir de recevoir mon foutre, à ce con. Je vais vite, ne cherchant qu’à finir ma petite affaire au plus vite. Quand je jouis, oh pas grand-chose, il peut sentir l’effet d’être traité de pédé, lui qui en a horreur. Sur son dos, Sidonie a écrit nos deux prénoms dans un joli cœur. Pour sa peine, je l’embrasse en me retirant de ce cul. J’y remets aussi mon joujou et à fond les manettes. Maintenant, je couche ma belle, la recouvre de pommade, toujours sous le regard de son père. Parfois, nous échangeons un baiser tendre. Je commence à avoir la dalle, ma petite aussi. Quant à lui, une gamelle lui suffira. Je lui donne un bel électrochoc, le mettant hors combat pour quelques minutes, le temps de le menotter et de le mettre dans sa cage. Là, c’est fait, on ajoute deux gamelles, un avec de l’eau et l’autre avec de la bouffe pour chat. Ben oui, j’ai une cliente qui adore ça et j’ai des réserves. Quand il ouvre les yeux, il peine à se lever. Oups, il a un gros plug dans son cul et solidement fixé à sa taille, merci ma chérie pour l’idée. « Voilà, t’as de quoi bouffer et boire, passe une bonne nuit mon grand. On se revoit demain. Dis-moi, Sidonie, tu as bien fait tout ce que je t’ai demandé ? » « Oui Maître, voici tous mes papiers. Je disparais du ...
... monde pour n’être que votre esclave à tout jamais ! » Je vérifie s’il ne manque rien, surtout en cas de maladie. Non, tout est là, j’enferme le tout dans mon coffre. On laisse ce vieux con dans sa cage pour se taper la cloche dans la cuisine. Son corps la fait encore souffrir, bien trop à mon gout. Je lui donne un calmant et l’envoie se coucher après ce repas improvisé. Dans mon salon, je regarde tout ce que j’ai récupéré dans la maison de mes parents. Beaucoup de photos qui m’arrachent des larmes, de la rage aussi. Puis, je tombe sur cette cassette. En l’ouvrant, je découvre des lettres, des tonnes de lettre écrite par mes parents et qui nous étaient toutes adressées à ma sœur et moi. La première, le pardon de mes parents pour leur emportement. Et les autres où ils s’inquiètent de n’avoir aucune réponse de nous. Heureusement pour le frangin que je ne possède pas d’arme à feu. Du reste, cassette en main, je vais le voir. Un bon coup de pied dans la cage et le voilà toute ouïe. « Espèce de salope, tu n’as jamais envoyé le courrier que nous adressaient nos parents. T’es qu’une ordure, juste une merde. Demain, tu vas comprendre de quoi je peux être capable. Quand j’en aurais fini avec toi, c’est avec la justice que tu auras maille à partir. Je t’accuse d’avoir tué nos parents à petit feu et je possède là toute les preuves pour t’envoyer en tôle pour longtemps. » « Tu n’as rien du tout, c’est juste des lettres ! » « Ok, alors dis-moi ce que tu penses de celle-ci, datée de quelques ...