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Cousine Zoulikha Première partie : ma découverte d
Datte: 05/03/2018, Catégories: Inceste / Tabou Humour, Anal
Zoulikha est probablement la plus belle et plus sensuelle fille de la famille. Il s’agit d’une cousine germaine (enfin germaine, je ne sais pas trop ! Elle est la fille du demi-frère à mon père, par sa mère. Je ne sais pas trop comment on qualifie une telle cousine) de deux ans ma cadette et qui dès son plus jeune âge avait des grandes dispositions pour la gaudriole. Je n’ai réellement connu cette fille, que quand j’étais venu suivre des études supérieures à Alger. Je venais de ma Kabylie natale et comme tout boursier (c’est-à-dire qui n’avait pas les moyens financiers pour louer un appartement, même à plusieurs et vivre en dehors du monde estudiantin) je vivais en cité universitaire.J’avais un oncle paternel – le fameux demi frère à mon père, par sa mère - qui vivait à Alger depuis très longtemps et qui avait cinq enfants, dont deux filles. Mon père m’avait demandé de me rapprocher de lui pour le cas où j’aurais besoin de quelque chose de particulier. J’avais trop d’orgueil pour m’abaisser à faire appel à la solidarité familiale pour vivre ; j’avais donc pris un travail à mi-temps pour compléter une bourse d’études nettement insuffisante. Je me débrouillais assez bien et n’avais donc aucun besoin d’aller quémander quoi que ce soit chez mon oncle.J’avais été tout de même rendre une visite de courtoisie à la famille, pour annoncer ma présence à Alger (si je m’étais abstenu, la famille aurait très mal pris la chose et je risquais de créer un conflit malvenu entre frères). ...
... C’est à ce moment là que j’avais fait la connaissance de toute la famille: l’oncle, un ancien moudjahid qui avait atteint un âge avancé et qui souffrait des séquelles des tortures qu’il avait endurées au cours de la guerre de libération nationale; il était plutôt sympa avec moi, en qui il trouvait une oreille attentive pour ses récits de guerre et ses analyses de la situation politique du pays (en fait je crois avoir beaucoup appris à son contact, sur l’histoire du mouvement national algérien, auquel il avait très fortement contribué depuis son plus jeune âge) ; sa femme, beaucoup moins sympathique, mais qui avait tout de même fini par accepter ma présence qui allait devenir quasi permanente dans sa maison, parce qu’elle trouvait en moi un mentor pour les études de ses deux filles, qui devaient toutes les deux passer leur baccalauréat (Zoulikha pour la troisième fois); les trois frères dont le plus grand était ingénieur, le deuxième employé de banque et le troisième s’était engagé dans l’armée après son baccalauréat et était élève officier à l’Académie Interarmes de Cherchell.Dès ma première visite à la famille de mon oncle, qui habitait à deux pas de l’université, j’avais été conquis par la beauté de ma cousine Zoulikha. Elle était grande et devait bien faire un mètre soixante-dix-huit, ce qui à cette époque - il y a maintenant une trentaine d’années - était très rare. Mais elle avait des rondeurs partout : rondeurs sur sa poitrine, qu’arrivait difficilement à contenir un ...