Cousine Zoulikha Première partie : ma découverte d
Datte: 05/03/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
Humour,
Anal
... trouver.Il me manquait l’endroit où l’amener. Cela ne pouvait pas être la chambre de la cité U, que d’ailleurs, je partageais avec deux autres camarades, qui pouvait faire l’affaire. Et je ne connaissais personne qui disposait d’un appartement et, surtout, qui pouvait me le prêter. Je ne voyais pas d’autre solution que la maison de mon oncle: elle était immense et chacun des membres de la famille disposait d’une chambre. Il en restait même une de libre, celle du frère qui était à la caserne de Cherchell pendant toute la semaine. Je me disais qu’il fallait trouver la solution pour que, de temps en temps, je passe la nuit dans la maison de mon oncle. Je ne me posais même pas la question de savoir si Zoulikha était d’accord : pour moi elle était totalement acquise ; il fallait seulement trouver où et quand (Quand je disais que j’étais prétentieux !)Je mis beaucoup de temps pour trouver la solution. J’avais dû attendre les vacances universitaires d’hiver, pour mentir à mon oncle, en prétendant que la cité universitaire devait fermer pour les vacances et que, devant encore passer deux examens, je devais rester à Alger ; mais que je ne savais pas où aller. Mon oncle tomba dans le piège, surtout qu’il était bien content de trouver une oreille attentive à ses histoires sur la guerre et sur tous ses compagnons morts au maquis ou en prison.Il me restait à convaincre la femme de mon oncle qui était plus réticente. La solution fut trouvée par la jeune sœur Farida, qui m’aimait ...
... beaucoup et qui prétexta qu’elle avait besoin de cours de philosophie et de littérature pour pouvoir décrocher son baccalauréat. Elle devait passer son bac cette année et comptait le décrocher, contrairement à sa grande sœur qui l’avait raté deux fois d’affilée et qui, elle devait le repasser.Au cours de la première nuit que je passais dans la maison, je consacrais d’abord près d’une heure à mon oncle à discuter avec lui de l’histoire algérienne immédiate. Je le laissais parler, en relançant de temps en temps la discussion par une question. Mon oncle n’avait besoin que d’une écoute, même distraite, pour se lancer dans un long discours qui mêlait plein de choses : ses années de prison, la torture (un jour, il m’avait fait comprendre, à demi-mots, parce que ces choses là ne s’avouent pas, qu’il avait été émasculé par les paras de Bigeard au cours d’une séance de tortures visant à lui faire indiquer où se trouvaient ses compagnons de la bataille d’Alger), les premiers partis nationalistes, les trahisons, etc. Au bout d’une heure, son âge avancé aidant, il alla dormir.Sa femme m’indiqua ensuite la chambre dans laquelle je devais dormir, après avoir donné son cours à Farida. C’était dans la chambre de Zoulikha que j’aidais Farida à comprendre les subtilités de la philosophie de l’absurde, telles que mises en valeur par Albert Camus. Pendant ce temps, Zoulikha était allongée dans son lit, lisant et relisant, elle-aussi, un cours de philosophie, auquel elle ne semblait rien comprendre ...