1. Cousine Zoulikha Première partie : ma découverte d


    Datte: 05/03/2018, Catégories: Inceste / Tabou Humour, Anal

    ... giclée de sperme qui, contrairement à celle de Marc, alla au fond se gorge. Elle retira vite sa bouche et laissa faire Jacqueline qui continua à me masturber, cette fois-ci avec énergie pour faire sortir tout le reste du foutre qui alla s’étaler sur le visage, le cou et les seins de Zoulikha. Quand je n’avais plus rien à éjaculer, Jacqueline se désintéressa de moi, pour s’occuper de lécher son amie et d’avaler tout le foutre qu’elle avait sur le corps.Elle en profita pour l’embrasser passionnément et lui caresser toutes les parties de son corps. Jacqueline, de toute évidence éprouvait de la passion pour Zoulikha : elle l’aimait et aimait son corps. Sa manière pleine de tendresse de l’embrasser et de la caresser, prouvait ce trop plein d’amour. Et Zoulikha se laissait faire ; je ne savais pas si elle avait pour son amie, les mêmes sentiments, mais elle aussi, semblait apprécier les caresses et les baisers de Jacqueline. Elles en étaient là à sa bécoter pendant un moment quand je vis Marc s’approcher de Zoulikha, par derrière, se mettre à genoux lui aussi, lui prendre les hanches et les relever et enfoncer son immense sexe dans l’un des trous de ma cousine. De là où j’étais, je ne voyais pas s’il l’enculait ou s’il s’occupait de sa chatte.Zoulikha poussa un petit cri de joie, se retourna et lança un superbe sourire à son amant. Je le vis qui la tenait fermement par la taille et qui se mit à pilonner le trou qu’il investissait avec brutalité. Zoulikha criait que c’était bon, ...
    ... qu’il fallait qu’il continue à la tirer, qu’elle aimait être enculée (c’était donc son cul qu’il pilonnait comme cela !) par son maître. Elle n’arrivait pas à retenir sa salive qui coulait à flots sur les épaules de Jacqueline qui continuait à l’embrasser avec tendresse et à lui caresser les seins. Marc leva la tête vers moi et dit :- Qu’est-ce que tu attends pour baiser Jacquie (c’était comme cela que lui appelait sa compagne).Je ne savais pas quoi faire. Tout ce que je savais, c’est que je devais obéir au maître. Tous dans cette maison obéissaient au maître ! Et moi aussi, me dis-je ! Je me mis moi aussi à genoux derrière Jacqueline, lui relevai les pans de sa nuisette sur le dos, abaissai la petite culotte noire qu’elle portait et relevai ses hanches pour qu’elles soient à hauteur de mon sexe. Je plongeai mes doigts entres ses grandes lèvres (que je ne découvris qu’à ce moment là et que je trouvais aussi belles et aussi bandantes que celles de Zoulikha !) pour vérifier leur degré d’humidité, trouvai qu’elles coulaient d’excitation, et plaçai le gland à l’intérieure de la raie. Jacquie, ne se retourna même pas pour voir ce que j’étais entrain de lui faire; elle cambra davantage ses reins et s’offrit à la saillie, comme la superbe pouliche qu’elle était. Je la pénétrai d’un coup et découvrit un autre monde de plaisir intense : la chaleur, l’humidité, la viscosité, l’élasticité du lieu me donnait une telle sensation de plaisir et de bien-être que j’avais peur de défaillir. Mon ...