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Cousine Zoulikha Première partie : ma découverte d
Datte: 05/03/2018, Catégories: Inceste / Tabou Humour, Anal
... regardant dans les yeux, je vis qu’elle était vraiment sérieuse.J’avais reçu une éducation traditionnelle. Il m’était impossible de penser que je pourrais un jour participer à une réunion en groupe comme cela. Surtout d’y amener ma petite amie et la partager avec les participants; même si en retour, j’étais assuré de tirer la petite amie de quelqu’un d’autre. L’idée même que quelqu’un pouvait coucher avec Zoulikha m’était odieuse. Il m’était encore plus odieux d’assister à des orgasmes qu’elle aurait grâce à un autre homme (ou à d’autres hommes). Dans ma tête, depuis que j’avais décidé qu’elle serait ma maîtresse, je m’étais mis en tête que Zoulikha m’appartenait. Et même si ma première expérience avec elle n’avait pas été très concluante, j’avais décidé que lui ferais atteindre les plus hautes cimes du plaisir la prochaine fois qu’elle s’offrira à moi.Je lui dis qu’il n’était pas question pour moi d’accepter de la partager avec qui que ce soit ! Que j’étais un Homme (avec un grand H) ! Que je l’aimais ! Et qu’elle m’aimait ! (je ne savais pas trop pourquoi je lui avais dit ça !). Elle ne pouvait appartenir à personne d’autre qu’à moi !- Tu tiens vraiment à avoir des cornes ! Je suis incapable de me contenter d’un seul homme ! Même Marc, que pourtant je suis sûre d’aimer et qui sait me donner du plaisir est incapable de me satisfaire à lui seul ! Je ne prends réellement mon pied que quand il y a foule dans mon lit. Y compris avec Jacqueline qui vient se mêler à nous, mais que ...
... personne d’autre que moi n’a le droit de baiser ! Si tu es d’accord pour venir avec moi, non seulement tu me baiseras autant que tu veux, mais je t’offrirai Jacqueline qui n’aime pas trop les hommes (en dehors du sien) mais qui acceptera de s’offrir à toi, si je le lui impose ! Dis oui ! Ce sera super pour nous tous !- Cela veut dire que je ne compte absolument pas pour toi ! Tu veux m’utiliser pour satisfaire l’homme que tu aimes vraiment : Marc !- Oui ! Tu acceptes ?Je ne répondis pas, mais je savais – et elle aussi – que j’avais abdiqué. Le bel amour que je croyais vivre avec Zoulikha était entrain de se transformer en cauchemar. Mais je ne voulais pas abandonner. Je voulais encore croire qu’elle finira par m’aimer et se contenter de l’amour que je lui donnerai. Je me dis qu’il valait peut-être mieux l’accompagner dans ses expériences amoureuses à plusieurs, pour être là au moment où elle décidera de tout arrêter et de me revenir.Elle n’arrêta rien et surtout ne me revint pas ! Le lendemain, nous prîmes tous les deux le bus des étudiants pour nous rendre à Ben Aknoun. Nous nous rendîmes à la cité où vivait la colonie des coopérants techniques étrangers. Zoulikha sonna à la porte d’un appartement dans un bâtiment de quatre étages. La porte s’ouvrit sur une splendide plante, de type asiatique, grande, mince et brune. Elle était habillée d’une simple nuisette bleue qui ne cachait absolument rien de son corps de sirène : épaules larges et rondes; poitrine large avec une paire ...