Un homme heureux
Datte: 05/03/2018,
Catégories:
Collègues / Travail
amour,
Oral
fsodo,
... quitte sa robe. Elle est nue, s’allonge sur le bureau. Son corps est toujours aussi magnifique. Je ne peux résister et la prend. Dans ces moments-là, je me crois revenu au temps où nous étions amants. J’attends toujours qu’elle ait pris son plaisir pour me déverser en elle. Mais quand je reprends mes esprits, je revois, je me rappelle la scène où elle m’a rejeté. Pourtant, il est évident qu’elle tient maintenant vraiment à moi, que nous pourrions former un couple normal. Comme à l’ordinaire, un samedi, au moment où nous nous aimons, elle prend mon sexe en bouche et ne veux pas le lâcher. — Laisse-moi, je veux seulement te baiser.— Mais aujourd’hui je ne peux pas, je suis indisposée.— Relève-toi et mets-toi en tenue. Elle m’obéit sans rien dire. Je la place à plat ventre sur le bureau. Je vais lui démontrer qui est le maître. Je lui écarte les fesses et présente mon sexe face à son anus. Elle m’a toujours refusé cela. Je vais voir si elle m’aime vraiment. — Écarte tes fesses avec tes mains.— Mais Bernard…— Tais-toi. Avec difficulté, je m’enfonce dans ses boyaux. Je n’ai que rarement pratiqué ça, mais je rêvais de recommencer un jour. La sensation est tellement incroyable que je ne peux résister longtemps et me déverse dans ses intestins. À ce moment là, je prends soudain conscience que je viens de la violer ! Je regrette mon geste et relève Isabelle, la tourne vers moi. Elle le visage couvert de larmes, mais ne dit rien. Je l’embrasse comme autrefois. — Pardonne-moi Isabelle, ...
... je ne sais pas ce qui m’a pris. Je viens de te violer.— Ça ne fait rien, je t’aime tellement, je suis prête à tout pour te satisfaire.— Excuse-moi, je me sens tellement dégueulasse, je ne peux te parler. Je l’ai laissée toute seule, mais à travers ses larmes, j’ai senti qu’elle avait un certain espoir. Tout le week-end, je me suis maudit. À une femme qui était prête à tout pour me reconquérir, j’ai infligé la plus humiliante punition. Je ne pouvais pas supporter son offense, et je venais de me venger de la même façon. Samedi prochain, je lui dirais que je l’aime et nous nous remettrons ensemble. Le lundi, je n’ose pas regarder vers son bureau, j’ai trop honte. Je me lance dans le travail, ressassant ma mauvaise action. Marie, en fin de matinée, vient m’appeler. Isabelle et monsieur Faure veulent me voir. Je monte me demandant qu’est-ce qui ne tourne pas rond. Je frappe à la porte du bureau et entre. Je crois perdre connaissance. Devant moi, Caroline. Non, ce n’est pas possible, elle est morte. Mais alors, c’est sa sœur ! Dans la même de robe, coiffée comme elle. Je n’ose dire un mot. — Bernard, je te présente ma nièce Agnès. C’est elle qui est en réalité la patronne du garage. Elle était aux États-Unis ces dernières années. Elle voulait te connaître.— Nous nous sommes déjà vus, dit-elle.— Mais comment est-ce possible ? lui demanda son oncle.— C’est monsieur qui a sorti la Dauphine de l’eau.— La coïncidence est incroyable ! Tous les deux, nous savons que c’est normal. Tout a ...