Marie Christine, génèse d'une soumise (2)
Datte: 05/03/2018,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Ce soir là Bob ne gagna jamais. Sa petite protégée passa ainsi de mains et mains, selon le hasard des cartes. Rien de bien sérieux ne lui arriva, si l’on considère que le fait de se faire tripoter par des inconnus ne relève pas de ce registre. Par contre l’esprit scientifique de son amant se mit à fonctionner à toute allure, cherchant des développements ingénieux à l’histoire. Il proposa une revanche aux joueurs. Les gitans déclinèrent mais Mohamed accepta. Il proposa que le match retour ait lieu chez lui en compagnie de quelques retraités de ses amis. La soirée du mercredi suivant fut retenue. Marie Christine qui savait ce qui l’attendait, et avait tiré un plaisir certain de la soirée, accepta l’aventure. Dire que Mohamed les reçut chez lui est un peu exagéré. En fait c’est une cabane de chantier qui attendait Bob et Marie Christine au coin d’un immeuble en construction. L’endroit était fort dépouillé, une lampe nue au plafond et six chaises au tour d’une table. L’adolescente comprit qu’elle devrait rester debout quand Bob prit place sur la dernière, tout en saluant les cinq types qui siégeaient déjà. Les présentations furent rapides. Et le jeu démarra. Comme la fois précédente la chance abandonna Bob. Tour à tour les vieux maghrébins, après avoir effeuillée l’adolescente purent jauger sa plastique de leurs mains envahissantes. On a resta là peu après minuit. Bob avait d’autres idées en tête et promit à Marie Christine, pourtant ravie, quelque chose de plus affriolant pour ...
... bientôt. Une semaine passa, le temps pour Bob d’organiser son projet suivant. Marie Christine n’allait plus du tout en cours, ce qui lui laissait le temps, entre deux coucheries, d’observer les préparatifs de son amant. Bob loua une salle pour une soirée à une agence spécialisée, puis il commanda à un menuisier une drôle de boite carrée de 1,50 mètre de côté munie d’une porte et complètement aveugle par ailleurs. Plus quelques accessoires dont une roue crantée dont Marie Christine ne sut pas plus. Au jour prévu, Bob partir dans l’après midi installer son matériel, laissant la fille dans l’expectative. Elle ne découvrit le lieu que vers 19h30. Il s’agissait d’une petite salle de théâtre traditionnelle qui pouvait accueillir une centaine de personne. Sur la scène en amont du grand rideau de velours se trouvait la roue montée sur un axe, recouverte d’un voile noir. Après une courte collation Marie Christine passa par les loges où l’attendait une grande cape, telle qu’en portent certains prestidigitateurs. Elle chercha d’autres vêtements mais ne découvrit qu’un maigre string de cuir noir et une paire d’escarpins aux talons fort hauts. Un loup de dentelle complétait la panoplie. Elle passa l’ensemble et attendit. Peu avant 21 heures la salle était comble. L’assemblée était uniquement masculine et fort âgée dans l’ensemble. Les deux gitans, amoureux de poker du chapitre précédent, filtraient l’entrée qui était gratuite. Ils fermèrent les portes à l’heure dite. Bob apparut en tenue ...