1. Marie Christine, génèse d'une soumise (2)


    Datte: 05/03/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... avant de s’arrêter sur la case 2. Le type avait soixante dix ans, sec comme un coup de trique, trique qu’il avait d’ailleurs à la pensée de se faire sucer par la pin-up brune. Son sexe fut englouti comme celui de son prédécesseur et épongé en moins de deux. Quand Bob ouvrit la porte, Marie Christine encore à genoux s’essuyait les lèvres d’un revers de langue. Elle montra sa bouche ouverte au public pour afficher qu’aucune trace suspecte ne demeurait à l’intérieur de cette cavité. Le gagnant suivant, au tour numéro 12, eut droit à nouveau au même type de gâterie. Bob ne jugea pas utile de refermer la porte et le public eut tout loisir de mater la brune sans gène dans son exercice buccal. La fille lécha longuement le gland du bonhomme, un quinquagénaire trapu à tout niveau, puis le prit en bouche dans un va et vient sans complaisance. La séance dura quelque peu, sans doute parce que le type était un peu gêné. A la fin Marie Christine, la bouche grande ouverte, se dégagea un tantinet afin que l’audience voit les flots de sperme se répandre dans sa gorge. Elle aspira ensuite fortement le membre afin de l’étancher d’éventuels spermatozoïdes récalcitrants. Elle ne relâcha sa proie que lorsque celle-ci eut retrouvé une apparence flasque et minimaliste. On était à mi-parcours de la soirée et Bob proposa une petite attraction supplémentaire. Il mit aux enchères le string de sa jeune maîtresse. Les deux gitans qui continuaient à lever des fonds, se muèrent en commissaires ...
    ... priseurs. Pour 250 €, un grand escogriffe devint propriétaire d’un objet qui en valait le dixième. Mais il eut le privilège de venir prélever lui-même se relique sur la brune qui se trémoussait sur le devant de la scène en l’attendant. C’est sous les vivats qu’il se rendit maître de la micro culotte, révélant aux spectateurs émus le sexe parfaitement glabre de la fille ainsi que son postérieur musclé. Les règles du jeu changèrent pour la deuxième partie du spectacle. Les heureux gagnants ne pourraient plus profiter de la fille en solo comme précédemment mais devraient attendre la fin du tirage pour procéder collectivement. Quatre types, tous plus moches les uns que les autres, se retrouvèrent donc vers minuit autour de la cabine dans laquelle Marie Christine, nue comme un ver, les attendait. Plus de contraintes de positions ou d’orifices, c’était free style. Chacun pouvait tirer parti, ou tirer tout court, ce qui lui passait à portée de la main et surtout du sexe. La boite resta ouverte et les malheureux perdants eurent quand même la consolation d’assister à une demi heure de coïts plus ou moins simultanés, à l’issue desquels l’héroïne, couverte de stupre de haut en bas, finit par épuiser la petite équipe. Elle quitta sa boite en se trémoussant et vint saluer son public dans une ambiance euphorique avant de disparaître sous une longue salve de bravos. Bob, ravi de son show, la suivit. Déjà, il mijotait dans un coin de sa tête la suite des aventures de sa petite protégée. 
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