Nouvelle prof
Datte: 07/03/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
fplusag,
jeunes,
Collègues / Travail
profélève,
danser,
jalousie,
Oral
pénétratio,
fsodo,
f+prof,
... qu’il dégrafait mon soutien-gorge et enlevait mon tee-shirt, je baissai sa fermeture Éclair et plongeai ma main dans l’ouverture. À tâtons, je cherchais l’élastique de son caleçon que j’écartai et trouvai son pénis tendu et gonflé. Je le sentais vibrer sous mes doigts pendant que Philippe gémissait sous ma caresse. Je baissai son pantalon et vis sa verge pour la première fois. Je le masturbai lentement, sans la quitter des yeux. Ses bourses étaient dures, son gland rouge et luisant. Je me recouchai et écartai les jambes, l’invitant à me prendre. Il se coucha sur moi et me pénétra lentement, d’une seule poussée. Il était gros et me remplissait. Sa puissance se déchaîna et il me défonça vigoureusement. Sa bite me pilonnait sans ralentir, régulièrement, donnant des grands coups dévastateurs. Il me tenait par les épaules, appuyant dessus pour réduire l’espace entre nous. L’orgasme m’emporta et lui ne s’arrêtait pas, tapant dans mon trou avec la même force qu’au début. Il finit par lâcher prise et ses coups de reins se firent moins précis, moins réguliers. Il se retira puis me pénétra une ultime fois de toute la longueur de son sexe et éjacula. Son sperme se répandit en moi tel un torrent épais et grondant. Je le sentais battre en moi tandis que les dernières gouttes de son liquide s’écoulaient en moi. Il s’écroula sur moi, reprenant son souffle, le cœur battant à tout rompre. Je le sentis perdre peu à peu de sa vigueur, mais j’aimais la sensation de sa semence en moi, de son ...
... sexe toujours là, mais moins gros. Il se retira et s’allongea à côté de moi. Je m’endormais et lui aussi. Nous ne luttâmes plus et nous fermâmes les yeux. Je restai chez lui une semaine entière durant laquelle nous sortîmes très peu de l’appartement. Il me fit l’amour dans toutes les pièces, du salon à la cuisine, de la baignoire au canapé. Je le quittai pour passer le réveillon chez mes parents et ne le retrouvai que le jour de la rentrée. Je ne savais pas s’il fallait se montrer par rapport aux collègues, mais il m’embrassa devant tout le monde dans la salle des professeurs. Certains applaudirent, d’autres sifflèrent comme des gosses. Il s’en alla pour donner son cours et je restai dans la pièce, mon prochain cours n’étant que dans une heure. Une autre professeure était là et me regardait par-dessus ses lunettes. On la surnommait la vieille parce que c’était la doyenne du lycée. Je souriais. — Souriez, ma fille, souriez, ça vous passera.— Pourquoi vous dites ça ? Seriez-vous jalouse ? demandai-je sans agressivité.— Je le connais le Philippe, dit-elle en occultant ma question. C’est un coureur. Il vous a eue, il vous gardera le temps d’en trouver une autre.— Vous êtes méchante !— Il y a une stagiaire qui arrive la semaine prochaine. Vous verrez bien, dit-elle en s’éloignant. Je restai seule, inquiète. Je lui en voulais de m’avoir dit ça. Pourquoi me dire qu’il allait me quitter ou me tromper ? Il n’était pas comme ça, mon homme. Je repris confiance et quittai la salle, certaine ...