1. Les nouvelles sensations féminines


    Datte: 08/03/2018, Catégories: hh, BDSM / Fétichisme Transexuels Oral ecriv_t,

    En reprenant mes esprits après cette merveilleuse fellation que m’avait procuré mon ami, je lui demandais timidement s’il avait envie que je lui retourne le plaisir. — Non, pas encore. Cela m’a terriblement excité de te faire cette pipe mais je préfère que l’on attende encore un peu. Je me rendis compte que Marc ne m’avait pas encore montré son clitoris (c’est le terme que les travestis utilisent pour parler de leur sexe), bien que sa petite culotte noire cachait mal son membre dressé depuis qu’il m’était apparu en lingerie. Marc s’était remis debout et placé collé à côté de moi, devant les tiroirs ouverts de la commode. Son bras droit était passé derrière moi et me caressait doucement les fesses. Je n’ai pu m’empêcher de faire de même. Il explorait avec moi les trésors de nylon et de dentelle de sa maman. — Qu’aimerais-tu porter, ma chérie ? Qu’est-ce qui te ferait plaisir parmi toutes ces belles choses ? Il me parlait maintenant comme à une fille, ce qui me fit tout d’abord bizarre, puis devint très excitant. Je vis soudain un genre de porte-jarretelles rose qui m’attira, ce dont Marc s’aperçut car ma main s’était posée dessus. Il le sortit de la pile et le déplia devant moi : il s’agissait d’un très mignon serre-taille en fine tulle rose avec de courtes jarretelles rose et blanc soulignées par des petits noeuds roses. — Cela va t’aller merveilleusement. De plus, il y a le bustier et la petite culotte assortis ! Je vais t’aider à les passer. Marc m’entoura alors la taille ...
    ... de cette sublime lingerie puis l’agrafa dans mon dos. Toute cette excitation m’avait redonné rapidement une érection d’enfer, et maintenant que cette copine m’habillait avec les sous-vêtements de sa mère, j’étais dans un tel état que ma tête commençait à tourner un peu. — Il te faut une paire de bas blancs avec ça. Je vais te trouver ce qu’il faut. En effet, Marc ouvrit un tiroir et en sortit des bas blancs à couture d’une finesse extrême. — Assieds-toi sur le lit et tends-moi tes jambes. Il m’enfila avec application un bas puis l’autre, me fit mettre debout et agrafa les bas aux jarretelles du serre-taille. Puis il fouilla dans la commode et me présenta la mignonne culotte rose assortie. Elle était si diaphane que j’hésitai à l’enfiler de peur de la déchirer. Mais une fois qu’elle fut sur mes hanches et mes fesses, je me sentais si bien que j’eus vite envie de ne jamais m’en séparer. Il faut dire que le tissu était si souple qu’il emmaillotait merveilleusement ma queue raide et mes couilles recroquevillées dans le doux nylon. J’étais encore à apprécier ces sublimes sensations que Marc me tendait un bustier rose assorti encore plus sublime que le serre-taille. Je l’enfilai vite et Marc se mit derrière moi pour fermer toutes les agrafes dans mon dos. Je me sentais vraiment différent dans tous ces frous-frous ! Marc remarqua que nos poitrines étaient bien plates pour des poitrines de fille. On y remédia en glissant à son initiative des culottes roulées en boule dans les bonnets ...
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