Les nouvelles sensations féminines
Datte: 08/03/2018,
Catégories:
hh,
BDSM / Fétichisme
Transexuels
Oral
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... moi aussi, j’aimerais bien devenir une vraie fille. Veux-tu me la mettre aussi ? »— Bien sûr, ma chérie, lui répondis-je, je vais bien t’enfiler, comme tu m’as bien baisée, ma puce. Comme je bandais encore, je me levai et sortis un préservatif que j’enfilai sur mon clitoris tendu. Puis, je me lubrifiai avec une noix de crème et m’approchai de ma copine. Elle était allongée sur le dos au bord du lit, les jambes ouvertes. Je pris une autre noix de crème puis lui demandai de lever ses jambes pour que je puisse l’appliquer sur sa petite rondelle brune. Je fis avec elle ce qu’elle avait fait avec moi : je la lubrifiai bien. Je rentrai un doigt, puis deux, enfin trois pour bien la préparer à mon clitoris plus épais que le sien mais un peu plus court. Une fois ces préparatifs doucement achevés, je pris ses jambes et les lui fis les poser sur mes épaules. — Hmm, à ton tour, mon amour, de sentir les plaisirs de la pénétration. Je vais bien te faire jouir, tu vas voir. Je pris ma bite et pressai mon gland contre son anus. Je cherchais à m’enfoncer doucement, mais je sentis très facilement ma queue entrer sans presque aucun effort dans son intestin. Bientôt, j’étais à fond dans ses fesses. — Et bien, ma chérie, ça rentre comme dans du beurre là-dedans. Tu ne t’es pas un peu entraînée avant ?— Oui, c’est vrai. J’ai déjà usé et abusé des gods de maman, tu sais. Je te les ferai découvrir après. Je suis sûre que ça te plaira. Mais maintenant, baise-moi vite, ma belle. Encule-moi bien avec ...
... ton beau clitoris. En caressant ses jambes gainées et bottées, je me mis à lui pistonner langoureusement les fesses. Je la vis prendre sa bite en main et se masturber doucement. Elle avait repris sa belle taille de pine raide. Je baisai ma copine en gémissant de plaisir, repassant dans ma tête comme dans un rêve toutes ces choses interdites et scandaleuses que nous avions faites et faisions en ce moment. Pourvu que sa mère ou son père, ou une autre personne ne vienne pas : Quelle honte cela serait pour nous ! J’avais déjà éprouvé pareille sensation lorsque je revêtais et me masturbais dans les affaires de ma mère. C’était à la fois très troublant et terriblement excitant. Tellement excitant aussi de nous voir toutes les deux vêtues de dessous affriolants, que je sentis une jouissance incroyable monter dans mon bas-ventre. — Oh mon amour, je sens que ça vient. Je vais te juter dans les fesses !— Oui … moi aussi, ma chérie, tu vas me faire jouir avec ton clitoris. Comme c’est bon de se sentir une vraie femelle ! Je la baisais de plus en plus fort, sentant que j’allais juter en elle. Puis je sentis mon foutre éclater en saccades dans la capote et je vis, en même temps, gicler de sa queue de long traits de sperme qui atterrirent sur la nuisette noire. Nous étions toutes les deux en train de nous pâmer comme deux femelles amoureuses, revenant de nos orgasmes fantastiques et simultanés. Sans rien dire d’autre, je me glissai hors d’elle puis vins contre elle. Nous recommençâmes à ...