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Ici ça se Corse
Datte: 09/03/2018, Catégories: Anal Humour, Voyeur / Exhib / Nudisme
... et une bière fraîche extirpée du frigo. La miss n’avait rien d'un cordon bleu ce que je concevais. Elle avait d'autres talents à offrir. Elle m'invita à m'attabler tandis qu'assis dessus un petit canapé elle tirait déjà avec nervosité sur sa cigarette, cuisses croisées et battant l'air d'un petit pied marquant la mesure d’une musique invisible. Finalement j'avais sous-estimé sa nervosité ou son agacement. Elle voulait vraisemblablement expédier la chose. Il était acquis que je lui concédas la Corse. Elle voulait être sautée rapidement.Assuré de mon cadeau je n'en voulais pas moins en profiter un peu et la faire mariner. Notamment je lorgnais maintenant sans façon ses cuisses superbes. J'étais éberlué que son copain lui laissât porter un tel genre de minijupe qui ne laissait rien au hasard. On savait qu'elle portait des bas. Sa belle chair blanche et succulente affleurait à la naissance de ceux-ci. Pour tout dire c'était impudent et limite scandaleux. Je concevais que les autres femmes tempêtassent devant une pareille impudeur. Elles savaient que leur bonhomme irait courir à la soupe. Comment résister à tout cela ?J'eus à peine une pensée pour mon amie. Celle-ci depuis longtemps fermait les yeux sur mes écarts. Je n'en conservais pas moins le respect de faire cela discrètement et de refuser de m'afficher avec mes conquêtes. De toute façon de bonnes âmes s'employaient à la renseigner souvent. Je balayais cela d'un revers de main invoquant des pures calomnies. N'empêche je ...
... n'eus voulus pour rien au monde qu'elle sut que j'étais ce midi avec cette créature qu'elle haïssait tant. Elle eût été déçue que je ressemblas tant à tous ces mécréants qui couchaient avec elle en l’appelant : Putain.Je fis signe à ladite putain de venir me ravitailler d'une autre bière. J’étais déjà sur un petit nuage. Je parvenais à une effronterie dont je m’étonnais moi -même. Je la pris par la taille enfonçant mon groin dans son ventre chaud. Elle eût un rire faux de contentement. J'étais à point. Enfin allais-je disposer d'elle et de pouvoir prendre mon dû. Elle s'assit cavalièrement sur mes genoux. J'eus ses lèvres collées bientôt sur les miennes. Nos langues se mêlèrent. Je glissais une main leste dans sa culotte. Celle-ci était chaude et humide. Je pus pétrir son sexe. Elle gloussait d'aise.En un instant elle fut à genoux ouvrant avec dextérité ma braguette pour en extirper cet objet convoité. Elle affecta de marquer la bonne surprise que je fus bien pourvu. Elle s'enquit rapidement de branler et de sucer cette queue. J'observais du dessus la crinière de celle qui me pompait. Ma bite nageait déjà en l'indicible bonheur de sa bouche. Quelle vaillance. Elle ne laissait point sa part aux chiens. On eût qu'il en allait pour elle de la vie et de la mort. J'étais sensible à tant d'abnégation. Indubitablement elle aimait cela. Elle savait honorer un amant. Que de bons points pour elle.Elle se leva soudain pour s'appuyer contre une commode peu loin. Elle avait levé sa jupe par ...