1. La mauvaise pente (5)


    Datte: 09/03/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Le jour convenu, à quatorze heures tapantes, je sonnai chez elle, puis j’entrai directement. Elle m’avait en effet envoyé un texto dix minutes avant pour me prévenir que la porte serait ouverte. J’imaginais bien qu’elle n’avait pas envie de se montrer à la porte de chez elle en robe de mariée ! J’entrai jusque dans son séjour où je la trouvais qui m’attendait : elle était magnifique, dans sa longue robe-fourreau blanc cassé, ses hauts talons, et ses épaules et ses bras nus. Son ventre bombait en avant, ce qui ne lui enlevait aucune grâce. Elle portait par ailleurs de longs gants blancs. Je trouvai cette initiative à mon goût. Elle arborait un maquillage des plus raffinés. J’eus même du mal à réaliser qu’elle l’avait fait elle-même. Et j’avais vu immédiatement que, depuis notre dernière entrevue de la semaine passée, elle s’était fait faire des mèches blondes, ce qui la changeait et lui allait à ravir. " - Bonjour Mr le maire. — Bonjour Stéphanie. Vous êtes vraiment ravissante, resplendissante ! — Merci Mr le maire. C’est normal, je vous dois bien ça. J’ai dû juste reprendre ma robe pour faire de la place pour mon ventre - heureusement que je suis douée en couture !" gloussa-t-elle. " - Et cela vous va à ravir ! J’ai toujours trouvé les femmes enceintes délicieusement belles, et tellement bandantes ! — Merci. Aujourd’hui c’est la jeune mariée qui se donne à vous, et je serai toute à vous ! — Hummm... Vous êtes si sexy, si désirable. Allons dans votre chambre si vous le voulez ...
    ... bien. — Comme il vous plaira. Tout ce qu’il vous plaira." Je la suivis et nous gravîmes les marches qui montaient à sa chambre. Elle devait, ce faisant, retrousser légèrement sa robe, dévoilant le bas de ses jambes, et le froufroutement du tissu me faisait un effet bœuf. De plus, la suivant de près, je trouvai que son bassin avait pris un peu d’ampleur, ce qui n’était pas pour me déplaire - auparavant je l’avais toujours trouvé trop mince, avec un cul un peu petit. Sa grossesse lui donnait quelques formes, qui ne la rendaient que plus « intéressante », un peu pulpeuse, sans aucun embonpoint. Elle ne ressemblait pas à ces femmes en fin de grossesse que je voyais parfois dans mon cabinet et qui ressemblaient à de grosses poules grasses couvant leur œuf - poules que j’aurais bien, il faut l’avouer, culbutées quand même, et farcies ! Pour moi, le must en terme de puissance d’excitation sexuelle, c’est quand le fessier plantureux de la femme enceinte reste plus large que son ventre devenu ovoïde. Une fois arrivée dans sa chambre elle se retourna vers moi avec un petit sourire, une moue délicieuse, interrogative, qui attendait mes consignes. Ne souhaitant pas perdre de temps ni la faire languir, immédiatement je lui intimai, d’un ton sans appel : « - A quatre pattes, Stéphanie, par terre, la tête tournée vers le mur ! » Naturellement elle ne discuta pas. Mais la manœuvre fut un peu compliquée par longueur de la robe. Je la vis donc d’abord s’agenouiller en me tournant le dos, puis ...
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