La mauvaise pente (5)
Datte: 09/03/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... se pencher en avant, et elle s’appuya lentement et délicieusement sur ses avant-bras gainés de soie blanche. Je n’eus même pas besoin de lui demander de se cambrer et de creuser les reins : elle s’était installée en me présentant sa croupe encore emballée dans mon emballage cadeau que représentait cette robe-fourreau seyante, bien offerte, et bien tendue vers moi, et ses jambes étaient dans un écartement commode. Seuls dépassaient du tissu froncé ses fines chevilles gainées de nylon blanc, et ses escarpins d’un blanc immaculé. Je sortis discrètement mon appareil photo compact de ma poche, que j’avais réglé en mode silencieux, et pris rapidement et furtivement un premier cliché. Ce tableau en valait vraiment la peine. Puis je m’approchai, me penchai, puis je commençai à caresser la seule partie découverte par la robe et l’escarpin : le dos du pied, la cheville douce ; mes doigts crissèrent sur le nylon. J’avais le cœur qui battait, j’avais l’impression d’être un marié à qui on vient d’offrir un joli corps féminin, encore pur et encore vierge, et dont il vient de prendre livraison, et qu’il va posséder dans un court instant, celui d’une quasi-inconnue, en la personne d’une fraîchejeune femme qu’on lui a donnée comme épouse. Alors, lentement, je pris le derrière de la robe entre mes doigts et commençai à la remonter lentement, dévoilant tout d’abord les mollets ronds, puis les genoux, puis le bas des cuisses, tout ceci du même blanc opaque et nacré. Je m’arrêtai une seconde, ...
... le sang martelant mes tempes, puis je tirai un peu plus vers le haut et je vis apparaître la peau nue du haut des cuisses, au-dessus d’une jarretière… Elle avait mis des bas auto-fixants ! Ne m’arrêtant plus je levai et remontai encore le tissu et alors m’apparut le plus beau des spectacles : une pêche bien fendue et d’un beau volume, surmontant un petit abricot. Lapetite salope n’avait pas mis de culotte ! Je m’agenouillai devant cet objet de culte et me mis à caresser passionnément et de mes deux mains ces belles fesses oblongues et jumelles : que d’harmonie, que de beauté, que de douceur sous mes paumes. Mes mains descendaient jusqu’aux hauts des cuisses, s’égarèrent dans le sillon séparant ces belles demi-lunes déployées et bien épanouies. Il commençait à me venir des idées criminelles ! Du bout des doigts j’effleurai la petite tirelire aux rebords charnus qui la refermaient, en insistant de plus en plus. Je finis par les écarter de mes pouces : un délicieux coquillage rose pâle apparut. J’y plongeai le bout de mes doigts avec délectation pour m’apercevoir qu’il était tout humide de rosée : cette petite garce, dans sa tenue d’ingénue, avait l’air d’apprécier le jeu, puisqu’elle commençait à mouiller d’un désir honteux et coupable ! Je commençai à caresser les muqueuses intimes de cette petite salope, à entrouvrir les fines lèvres vulvaires de sa chatte, douce comme une fleur de satin. Elle se mit à soupirer, à gémir légèrement : elle avait l’air d’apprécier le traitement. ...