1. Vacances à la Grande-Canarie (2)


    Datte: 12/07/2017, Catégories: Hétéro

    ... cochonne pour toi maintenant ? — Viens me rouler une pelle petite salope je vais te faire sentir comme tu me plais On s’embrasse à nouveau, je retrouve le goût de sa mouille sur ses lèvres et une pointe un peu différente due à mon excitation. Au bout d’un long moment, elle se met à en arrière et me dit : - Maintenant viens me baiser ! Se met à genoux contre moi, la croupe offerte et rajoute un long - Viiite... Je n’attends pas plus, prends place derrière elle en levrette et introduis d’une poussée ma queue rarement bandée aussi dure dans son vagin brûlant. J’y vais fort, sans me retenir, je la bourre comme elle me l’a demandé ; comme elle continue à me le demander dans des phrases haletantes, pleines de gémissements. Elle projette aussi ses fesses en arrière et le bruit de chair qui claque devient un rythme terrible, qui emplit la pièce, comme un tam-tam qui emplit la nuit, oppressant, occupant l’espace, rythme devenu indépendant de nos esprits, il n’y a plus que le sexe qui domine, je sens confusément qu’elle se branle rapidement pendant que lui tiens les hanches et donne des coups profonds qui la font soudain exploser d’un cri, immédiatement suivi par le mien, gémissement inarticulé qui est le signe de ma délivrance et du jaillissement saccadé de mon sperme en elle. Mon corps ne m’obéit plus, mes hanches, mon bassin, ça bouge seul au rythme de mes derniers jets dans sa chaleur. On s’écroule l’un sur l’autre, unis et pantelants, nos souffles désormais un peu discordants ...
    ... peinent à redevenir normaux. On ne dit rien, tellement c’était fort, intense et c’est seulement au bout d’un long moment que j’arrive à me désolidariser et à me laisser retomber sur le dos à côté d’elle. Elle serre les cuisses, la main encore en coquille en dessous, en cherchant encore son souffle puis comme vidée, laisse échapper un long souffle. Enfin, elle se lève doucement et va vers la salle de bain, en sueur échevelée, rouge de plaisir. La chambre est lourde se senteurs capiteuses, fragrance humaine, odeur de sexe, quelle séance de folie. Je me sens serein, apaisé, tout simplement heureux... Comblé. Je me lève à mon tour et vais la rejoindre dans la grande salle de bain. Elle est encore sous la douche réglée en mode " pluie " et je la rejoins pendant qu’elle me regarde arriver. — Profite bien du jet, c’est super agréable et on peut bien savourer Je suis son exemple et, après m’être rincé sous la pluie, elle déclenche à nouveau les jets qui sortent des nombreuses buses orientables fixées au mur. On joue à tourner, se retourner, savourant les jets d’eau sur tout le corps. C’est agréable, massant, délassant puis vivifiant, tonifiant... A tel point qu’à force de se serrer, de laisser nos mains jouer sur nos corps, je suis de nouveau dur et tendu. — Monsieur a repris du poil de la bête on dirait. — Monsieur a envie de s’y remettre avec toutes tes caresses. — Mais madame est un peu endolorie après s’être fait bien remplir. Je ne dois pas parvenir entièrement à masquer mon petit ...
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