1. L'initiation continue


    Datte: 11/03/2018, Catégories: fh, fhh, fagée, inconnu, Collègues / Travail hsoumis, fdomine, humilié(e), contrainte, Oral hdanus, sm, attache, init,

    Résumé du premier épisode :Cherchant à combler mon fantasme de dominé, je croise dans un club une secrétaire de ma société qui m’initie à cette pratique… Le lendemain de la soirée, je croisai Ghislaine dans les couloirs de la société dans laquelle nous travaillions : un bonjour simple, toujours la même distance courtoise, le même sourire charmant. Elle était redevenue la Ghislaine que je connaissais auparavant. J’étais bouleversé par ce que j’avais subi, mais la « séance » s’éloignait peu à peu dans mon esprit. En somme, Ghislaine m’avait dominé un soir, rien de plus. Cependant, environ une semaine plus tard, la dominatrice réapparut, fort brièvement, mais cela bouleversa définitivement mon regard sur elle : j’étais en train de faire des photocopies dans son bureau, elle en était absente. Lorsqu’elle revint, je ne l’entendis pas rentrer. Elle passa derrière moi, en passant une main sur mes fesses, et ce de manière très appliquée. Je me relevais d’un coup et, la voyant, je ne sus que faire : elle me regardait avec le regard noir de dominatrice que je lui connaissais, mi-ironique mi-méprisant, semblant me dire « même ici vous n’êtes pas à l’abri ». Je mis quelques secondes à reprendre mes esprits et à m’enfuir dans mon bureau. Une fois assis, je me rendis compte que mon sexe était dressé, ce qui ne se voyait heureusement pas grâce à mes sous-vêtements. Ce fut la seule fois où elle se manifesta, mais après cet « incident », à chaque fois que je la voyais ou la croisais, je ...
    ... craignais d’elle non seulement un geste visible, mais aussi, réminiscence du coup de cravache de la séance précédente, qu’elle me fit mal physiquement. Je me rendais bien compte qu’à travers cet état de crainte mêlé de désir, Ghislaine avait pris un ascendant incroyable sur moi… et j’aimais ça. Je mis quelques jours à analyser ce qui m’arrivait. En particulier, je repensai à la sodomie que j’avais subie, à la douleur due à l’intrusion de ce sexe tendu dans mon anus et à cette sensation de chaleur lorsque cet homme s’était vidé en moi. Je n’étais pas homosexuel, et pourtant cette sodomie, bien que subie au départ, ne m’avait pas laissé un mauvais souvenir. La raison de cette contradiction était simple : c’était parce que Ghislaine l’avait ordonnée et dirigée. J’en arrivai à la conclusion que je mourrai d’envie de retourner dans cet endroit où je m’étais fait dominer et humilier, mais où j’avais réalisé une partie –seulement – de mes fantasmes. ---oooOooo--- Je retournais donc dans ce club, après m’être renseigné sur la date de la nouvelle soirée. Je dépendais tellement d’elle que, malgré les mauvais traitements subis, je craignais qu’elle ne vînt pas. Cette fois, le cerbère tiqua sur mon habillement classique : j’avais totalement oublié le code vestimentaire, et m’apprêtais à repartir la mort dans l’âme quand un ordre arriva dans les oreilles du portier, qui me laissa alors entrer. Je n’eus pas le temps de m’interroger sur ce curieux revirement de situation. Je venais de rentrer ...
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