L'initiation continue
Datte: 11/03/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
fagée,
inconnu,
Collègues / Travail
hsoumis,
fdomine,
humilié(e),
contrainte,
Oral
hdanus,
sm,
attache,
init,
... dans le club et y retrouvais cette atmosphère feutrée, apaisante, mais en même temps sombre et mystérieuse. Je m’accoudai au bar comme la première fois. Je regardai les femmes présentes : entre 30 et 50 ans, l’une portait une jupe en latex, moulant bien ses fesses et des hanches un peu larges. Elle attirait l’œil inévitablement… Un homme me saisit les poignets, sans un mot me mit des menottes et m’emmena dans une salle à l’étage. J’eus un premier réflexe de défense, mais il ne me laissa pas le choix. Il y avait dans cette salle un instrument fort ancien et que je n’avais jamais vu en vrai jusqu’alors : un pilori. C’était une solide planche, percée de trois trous : deux trous pour les poignets, et entre les deux, un trou pour la tête. Il était fixé sur une table basse de salon, elle-même fixée au sol. Il trônait au centre de la pièce, une lumière crue tombait sur lui, laissant le reste de la pièce dans la pénombre. Comme lors de la première séance, en voyant le dispositif qui m’attendait, j’eus un moment de panique. L’homme me laissa à l’entrée et disparut dans l’obscurité. Je vis alors avancer celle que j’attendais et craignais, celle que je pouvais dès lors qualifier de maîtresse : Ghislaine. Connaissant également ses goûts vestimentaires quelques fois éloignés des miens, je craignais une faute de goût de sa part, qui m’aurait empêché de fantasmer comme la première fois sur son corps de femme mûre, mais tellement envoûtant. Elle avait un haut en satin blanc qui lui moulait ...
... la poitrine et ce petit ventre qui trahissait délicieusement son âge. J’eus le temps de deviner, par l’absence de bretelles et une poitrine légèrement tombante, qu’elle n’avait pas de soutien-gorge. Elle portait une jupe en cuir rouge, courte. Elle lui moulait les fesses et mettait en valeur sa chute de reins, qui n’avait rien à envier à celle d’une jeunette. Ses hanches un peu larges, souvenir probable de maternités, soulignaient son caractère féminin. Comme il devait être bon de s’y agripper… Je supposai, mais sans en être tout à fait sûr, car je n’étais pas bien placé, qu’elle portait un string. Ce détail, pourtant anodin tant ce sous-vêtement est devenu courant aujourd’hui, me fit monter une première bouffée de chaleur : bêtement, je n’aurais jamais pensé qu’une femme mûre, même bien faite comme Ghislaine, puisse porter un string. Je m’imaginai alors cette belle femme vêtue simplement de ce sous-vêtement, en satin lui aussi espérais-je. Elle portait des chaussures à talons hauts, qui rehaussaient sa taille et lui donnaient une stature à laquelle je n’étais pas habitué, étant plus grand qu’elle. Elle portait comme la première fois un maquillage foncé sur ses yeux, discret mais efficace : il lui donnait cet air dominateur qui me faisait trembler. Tout était parfaitement coordonné : couleurs, étoffes, style. Dominatrice oui, pute non. Elle ne dit pas un mot, ne me lâchant pas du regard. Je cessai de la regarder et baissai le mien. Elle me prit par les menottes et m’amena au ...