la dirigeante
Datte: 12/07/2017,
Catégories:
Mature,
... éclairage de la rue suffit.— Tu vas me faire monter combien d’étages à pied ?— Trois seulement.— Je voulais te dire une chose, Philippe, tu n’es pas le seul à connaître l’art nouveau. N’oublie pas que je suis resté six années à la fac de Dauphine. Tous les jours je prenais le métro à la porte Dauphine pour y aller. Cette station a été faite par Guimard en « style pavillon », c’est aussi un petit chef d’œuvre de l’art nouveau… je crois même que c’est la dernière station de ce type à être encore debout aujourd’hui.Christa et Philippe montent lentement les escaliers. Au dernier étage, devant la porte d’entrée imposante du bureau d’études, se trouve un magnifique banc d’époque, aux pieds très travaillés, et recouvert de velours rouge sombre. Philippe propose à Christa de s’y asseoir. Surprise par cette proposition, elle lui répond très naïvement :— Je ne suis pas fatiguée, on peut redescendre. C’est vrai que ces vitraux sont magnifiques. On est dans un quartier où il y a tellement de jolies choses cachées.— Je ne t’ai pas demandé de t’asseoir sur ce banc parce que tu es fatiguée, mais pour faire connaissance avec le haut de tes bas.— Ah, c’est pour ça que tu m’as amené ici. Les vitraux ne sont qu’un prétexte… À faire des bêtises, tu ne préfères pas attendre qu’on soit confortablement installé à l’hôtel.— Non, j’ai envie de te violer tout de suite.— Tu crois que ça va être un viol ?— Fais au moins semblant : crie, hurle, contracte-toi, débats-toi… ici personne ne t’entendra.— Je ...
... ferai de mon mieux.— Avant tout, à moi l’honneur d’enlever ta petite culotte.Philippe pose la sacoche de son micro-ordinateur avec beaucoup de précautions au pied du banc puis, dans la précipitation, jette sa veste par terre. Pendant ce temps, Christa s’assied calmement à une extrémité du banc, puis s’allonge sur le dos. Philippe peut découvrir une petite culotte magnifique tout en broderie et dentelle. Il l’enlève avec beaucoup de délicatesse, comme si c’était un objet précieux. Christa remarque son trouble et lui dit avec une satisfaction non dissimulée :— Tu vois Philippe, ma petite culotte est entièrement en dentelle avec des iris brodés. Je l’ai aussi achetée pour toi aujourd’hui.— C’est incroyable, Christa, les dentelles de ta petite culotte sont complètement assorties aux décors des vitraux de la cage d’escalier. On dirait que c’est fait exprès.Christa se redresse, déboutonne sa veste de tailleur et annonce avec une voix très coquine à Philippe :— Et mon soutien-gorge aussi.— Remets-toi comme tu étais avant, j’ai envie de t’embrasser au milieu de toute cette dentelle, « là où c’est interdit ».— Philippe, pour toi rien n’est interdit.— Vraiment rien ?— Viens sur moi et fais-moi l’amour, tu joueras avec moi plus tard, j’ai trop envie de toi… et tout de suite.— Sois patiente… juste un petit peu… moi j’ai envie de jouer avec ton minou avant, il a l’air juste à point.Philippe se met à genou, il est juste au niveau des parties les plus féminines de Christa qui visiblement ...