1. La limite ultime


    Datte: 13/03/2018, Catégories: fh, vacances, amour, cérébral, revede, Masturbation intermast, pénétratio, amiamour, extraconj,

    ... intarissable sur l’ambiguïté de ses émotions et elle continue son monologue, tout le long du chemin. — Nous voilà arrivés chez toi, je vais te laisser dormir.— Attends, je te rends le vêtement de Véro.— Ce n’est pas pressé, tu les rendras demain !— J’y tiens, je risque d’oublier. Et puis aussi, je veux que tu me voies toute nue une dernière fois.— Toute, toute nue ?— Exactement, je suis fière de mon minou tout nu, il faut que je le montre à tout le monde, mais là il n’y a que toi !— Tu iras au camping naturiste ?— Je vais devenir une adepte ! Elle ouvre sa porte et me prend par la main pour m’attirer à l’intérieur. Elle se plante au milieu de sa pièce, à trois mètres de moi, et se tourne vers moi. Elle retire son manteau et fait passer le haut du jogging par-dessus sa tête et me les envoie d’un geste gracieux. Elle retire une chaussure, puis l’autre et me les jette. Toujours sans me quitter des yeux, elle fait glisser son pantalon de jogging moelleux le long de ses cuisses puis le laisse choir et enfin me l’envoie aussi d’un geste du pied. — Je te plais toujours ? Même après avoir assouvi tes bas instincts ? dit-elle en faisant une pirouette et puis en se plantant devant moi avec impudeur.— Beaucoup, vile tentatrice ! Tu es époustouflante ! Je ne me lasserai jamais d’admirer ton corps nu, et ton minou rasé. Je te rends ta culotte avec regret.— Je ne la mettrai pas devant toi, rassure-toi ! Allez, va-t’en vite maintenant, dit-elle en me poussant vers la porte. Va retrouver ...
    ... notre merveilleuse amie à tous les deux. Je t’envie de dormir avec elle et je l’envie de dormir avec toi. Malgré sa nudité elle me pousse jusqu’à la limite de la terrasse, bien en vue de la rue, et c’est là que je la prends dans mes bras pour lui donner un dernier baiser. Ce baiser dure, je la serre contre moi et je caresse son dos, ses fesses et ses cuisses. Une voiture passe dans la rue et le cône de ses phares nous illumine quelques secondes. Son conducteur aura à coup sûr remarqué la blanche nudité de ma maîtresse mais cela ne nous a pas interrompus. Et puis, enfin, je m’éloigne à reculons sans arriver à la quitter des yeux. Elle fait demi-tour sans cesser de me sourire et rentre chez elle tranquillement. Je suis émerveillé par ce corps de femme, nu dans la nuit qui s’éclipse avec grâce. Sur le chemin du retour, je réfléchis à tout ce que nous nous sommes dit ce soir, Valérie et moi, et au sens que nous avons donné à nos actes. Quand j’arrive à la maison, Véro est déjà couchée. Je prépare le feu pour la nuit, comme tous les soirs. Je prends une douche brûlante et finis de me sécher devant l’âtre. Je prends mon temps. Je suis baigné du bonheur induit par cette soirée exceptionnelle et je veux en profiter. Mon esprit vagabonde ! Je suis bien avec la chaleur des flammes sur mon corps, fatigué, repu de tous mes sens, mais sans sommeil. Mais il est tard et demain sera notre dernier jour entier ici, il faut que je sois reposé pour en profiter pleinement. Je me couche avec Véro et ...
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