La limite ultime
Datte: 13/03/2018,
Catégories:
fh,
vacances,
amour,
cérébral,
revede,
Masturbation
intermast,
pénétratio,
amiamour,
extraconj,
... je me colle à elle. Elle est toute nue, elle m’attendait. Elle semblait dormir mais elle se tourne pour incruster son dos et ses fesses contre moi. Je la serre encore et je l’embrasse dans le cou tendrement. C’est ainsi que nous nous endormons, nos deux corps nus, unis pour la nuit. oooOOOooo Je suis réveillé par une douce sensation qui vient de mon sexe. Cela ne me surprend pas, sans y être habitué, c’est maintenant dans le domaine du possible. Il n’y a plus de barrière, entre Véro et moi, qui rendrait cela invraisemblable. Ce plaisir immédiat, dès le réveil, c’est la magie de ce voyage que nous faisons tous les deux : un voyage dans la sensualité permanente. Je sens la tête de ma bien-aimée sur mon épaule et sa main qui me masturbe très délicatement, avec la légèreté d’une plume. Je m’habitue à la lumière et je vois ses yeux, un peu brillants mais souriants qui scrutent mon visage pour saisir ma première expression du matin. J’espère que j’exprime le sentiment qui envahit mon cœur. Je voudrais qu’elle lise sur mon visage le bonheur que je ressens à me réveiller avec elle avec cette liaison sensuelle si forte. Elle ne semble pas me caresser pour me donner du plaisir. Elle me caresse parce qu’elle aime me toucher, qu’elle en a envie, qu’elle en a le droit et qu’elle sait que j’aime ça. Sa caresse est si légère qu’elle n’est pas sexuelle, c’est seulement ses doigts qui parlent d’amour à mon sexe. Ce petit zizi s’est réveillé avant son maître, comme hier ! Les doigts de Véro ...
... sont eux-mêmes la seule partie vraiment réveillée pour pouvoir dire quelque chose. Ils disent à mon sexe, qui n’est plus tout à fait petit, la confiance que leur maîtresse a en moi pour lui donner une nouvelle journée de bonheur et de plaisir. Je donne un baiser sur le front tout proche de mon amante aimée. Pourquoi sur le front ? Parce qu’il est là ! Parce qu’il s’offre et qu’il permet à mes lèvres de raconter une petite histoire à Véro sans faire l’effort qui gâcherait la douce torpeur que je veux conserver encore un peu. Mes lèvres disent à Véro : Que je suis réveillé mais que je ne veux pas bouger ! Que j’aime sa caresse et qu’il ne faut pas qu’elle l’arrête ! Que j’ai entendu ce que ses doigts disaient avec une voix si basse que même les dauphins ne l’entendraient pas ! Véro me sourit ! Elle me rend mon bisou sur la joue, la joue parce que c’est aussi la partie de moi qui s’offre à ses lèvres sans effort. Elle me souffle alors avec douceur : — Tu es déçu ? Tu t’attendais à un réveil en fanfare comme hier ? Je n’en ai pas encore la force.— Je ne suis pas déçu ! Je me suis réveillé submergé par le bonheur de t’avoir près de moi. Ce n’est pas une formule, tu sais ! Je suis encore dans les limbes du sommeil, je n’ai conscience que de toi, de ton corps contre le mien, de ton envie d’être avec moi, et cela me rend immensément heureux. Je ne veux rien changer !— Tu vas quand même sortir de tes rêves. J’ai besoin que toi pour passer une bonne journée !— Non ! Tu vas rester ainsi ! ...