1. La limite ultime


    Datte: 13/03/2018, Catégories: fh, vacances, amour, cérébral, revede, Masturbation intermast, pénétratio, amiamour, extraconj,

    ... Notre bonne journée sera de profiter de la présence de l’autre, tout simplement.— J’ai des arguments pour te faire descendre de ton nuage ! Elle se penche alors doucement pour prendre mon sexe dans sa bouche. C’est délicieux, elle me fait un baiser langoureux sur mon membre qui finit de durcir sous ces stimuli. Quand elle approfondit sa succion, je m’éveille inéluctablement pour goûter ce plaisir fort et envahissant. Elle joue à être une bonne suceuse, à faire une pipe mouillée, et profonde et c’est une excellente mise en condition pour sortir de ma transe sentimentale avec plaisir. Ma torpeur s’est transformée en désir impétueux. Ma capacité à appréhender le monde n’est pas meilleure, mais j’ai sauté d’un monde onirique et sentimental à un univers de désirs charnels bien plus prosaïque. Tout en me suçant divinement, Véro explore de la main avec douceur les zones sensibles autour de mon sexe. Elle semble bien les connaître, tandis que sa bouche gourmande enveloppe et masse délicieusement mon gland. Oups ! Je me laisserais bien aller à ne rien faire. La direction prise est très tentante. Maintenant que je suis bien réveillé, j’ai envie de partager mes sensations avec Véro, de la prendre contre moi et de ressentir ce qu’elle ressent. Progressivement, ma jouissance devient secondaire et je n’envisage plus la jouissance que si je la vis à deux. J’interromps Véro en la prenant dans mes bras : — Viens, je veux te sentir contre moi !— Tu n’aimes plus mes pipes ?— Tu suces ...
    ... divinement et j’ai très envie de jouir dans ta bouche encore et encore, mais tout de suite, je te veux « toute entière » ! Véronique a une hésitation : — Toute entière ? Tu veux dire… Plus que tu ne m’as jamais eue ? Ma formule était ambiguë, mais Véro l’a interprétée de manière très orientée. Elle a compris que je lui demande de faire l’amour définitivement alors que mes pulsions n’étaient pas si précises. Mais je m’en veux de ne pas y avoir pensé dès mon réveil : c’est évident que c’est maintenant, dans l’intimité de ce lit, sans témoin, que la dernière limite de notre amitié doit être franchie. Sa question posée d’une petite voix timide et ses yeux brillants m’indiquent qu’elle attendait avec impatience que je lui propose le grand saut. — Oui, je te veux comme je ne t’ai jamais eue. Je veux que nous devenions des amants en prolongement de tout ce que nous nous sommes donnés ces derniers jours.— C’est plus émouvant encore qu’une demande en mariage, ce que tu me dis là.— Tu réponds quoi ?— Je réponds que je veux aussi que nous soyons amants. Je n’ai jamais eu d’amant et je ne veux pas en avoir d’autre que toi, et je le veux maintenant ! Je la serre dans mes bras et je lui donne un grand baiser. Nos deux corps s’épousent et donnent à ce baiser une étendue comme aucun baiser n’en a jamais eu. Nos mains nous caressent partout où elles le peuvent. Progressivement nous nous animons pour ressentir toujours plus la peau de l’autre. Nous renonçons ici, tous les deux, à ces limites bafouées. ...
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