LA TABLE EN SAPIN 3
Datte: 14/03/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Alors que je venais de sortir de chez Collette, une pensée me traversa la tête. Pourquoi je prenais tant de plaisir à la baiser, celle-là ? Surtout avec ses cent kilos pour un mètre soixante dix. Je vous laisse imaginer le tableau. Mais la réponse à ma question vint tout de suite. Parce qu’elle était la mère de ma femme. Et ça suffisait pour que je prenne un pied pas possible. Surtout que je ne prenais jamais de gants, avec Colette. Ce qui n’était pas le cas avec sa fille. Il fallait toujours faire attention pour ne pas offenser la dame. Même si je lui jutais dans tous les trous. Ça restait plus ou moins pour moi, qu’une simple baise. Une branlette améliorée, si vous voyez ceux que je veux dire Toujours est-il que les jours passaient et que je m’installais dans ce qu’il fallait bien appeler une débauche familiale. Entraînant dans ma déraison, belle-maman. C’était devenu un besoin pour moi. Une drogue. Cela épiçait mon quotidien de s’envoyer vergogne la mère de ma femme sous la barbe de beau-papa, Claude. Et Colette était loin de s’en plaindre. J’étais devenue son fantasme vivant. Son gode sur pattes. L’obsédant à un tel point, qu’elle ne vivait plus, que dans l’attente de ces moments. Mais le plus magnifique, c’était qu’après notre soif sexuelle étanchée, nous n’avions même pas de remords. Nous reprenions chacun de notre côté, notre vie de couple. Redevenant le mari de Cathy et Colette la femme de Claude. Ou alors la gentille maman venant rendre une visite à ses chers ...
... enfants. Partageant souvent notre table. Comme nous partagions la sienne. Mais le plus extraordinaire, dans tout ça. C’était que tout le monde autour de nous ignorait ce qu’était réellement la gentille Colette… toutes sauf moi. Des mois se sont écoulées. Mais cela n'avait pas tari notre besoin de jouir ensemble. Entre-temps, mes beaux-parents avaient quitté leur l’appartement pour faire l’acquisition d’une maison. Hormis une grande pièce à vivre et une chambre, tout le restant était à restauré. Pour échapper un peu, à l’obligation des travaux, Claude avait décidé d'aller rendre une visite à des amis demeurant dans le midi. Ça n’avait pas été une mince affaire, de contraindre Colette de l’accompagner. J’ai eu recours à la persuasion. Je vous laisse deviner lesquels . Je me suis promis pendant leur absence de m’occuper de l’ouverture du mur. Un besoin, qui leur permettra d’aller aux toilettes sans mettre les pieds dehors. Le lundi suivant, je me mis au travail. J’étais en train d’étayer le mur porteur quand le téléphone se mit à sonner. Ce devait être sans aucun doute Cathy, mon épouse. Prenant de mes nouvelles où savoir si j’étais sur place. Pour les deux fins, il fallait à tout prix que je réponde. Je courus jusqu’à lui et décrochais le combiné. Je fus surpris de reconnaître la voix de Patricia. - Maman n’est pas là . - Non… elle n’est pas là, effectivement. - Elle est en course . - Pas du tout. Elle est parti avec ton père dans le midi. - Merde cela ne m’arrange pas. - Ah bon, et ...